🚨 Après deux mois d’errance dans le Borinage, l’exposition « Black Maroû » débarque au Magasin de papier, à Mons ! 🐈⬛
👉 Une vingtaine d’artistes, des disciplines diverses (gravure, sculpture, graphisme, dessin, photographie…) : « Black Maroû », est une exposition collective qui explore avec légèreté et malice la thématique du « maroû* ».
1️⃣ Vernissage au Magasin de papier (rue de la clef à Mons) le samedi 8 novembre dès 18h30 – accès libre, bienvenue à toutes et tous.
2️⃣ Exposition visible du 9 novembre au 7 décembre.
Chez Co-GuestHouse, nous aimons donner leur chance aux artistes émergents dont la sensibilité et la démarche interrogent, bousculent et éveillent. En ce mois de novembre, nous accueillons l’Etterbeekoise Eleni Arvanatis, une photographe de 32 ans à la fois instinctive et profondément réfléchie, qui explore l’esthétique des émotions à travers une série d’autoportraits saisissants.
Une âme en quête d’expériences
A la question «Qui es-tu ?» Eleni répond simplement : «Je suis une âme qui expérimente la vie». Et cela dit tout sur sa personnalité singulière, à la croisée des chemins entre vulnérabilité et audace.
D’origine grecque par son père et belge par sa mère, elle revendique fièrement ses racines multiples. Très tôt, elle s’est orientée vers les arts – musique, dessin, création visuelle – et c’est à l’Ecole Saint-Luc à Tournai qu’elle affine sa sensibilité artistique. Ironie du sort : elle y entre pour suivre une amie… qui ne viendra jamais.
Mais ce détour deviendra un tremplin. En dessinant, Eleni comprend qu’elle est fascinée par le réalisme, par la précision du trait — jusqu’à trouver dans la photographie « le dessin le plus juste, le plus vrai ».
De la différence à la lumière
Un problème de vue à la naissance aurait pu la détourner de ce chemin.
On lui a souvent dit qu’elle n’y arriverait pas. Mais Eleni a choisi d’écouter son intuition plutôt que les voix du doute. «Je n’ai jamais voulu croire au destin qu’on m’assignait.» Et cette force tranquille, elle la transmet aujourd’hui à travers ses images : un regard qui révèle la beauté de ceux qui doutent d’eux-mêmes.
Photographier pour révéler
Dans son métier, Eleni travaille essentiellement avec des entreprises, des indépendants et des personnes en transition. « Celles et ceux qui portent un projet, une idée, mais manquent encore de confiance pour la faire éclore. Mon appareil photo est mon meilleur outil pour leur rappeler à quel point ils sont beaux, capables, vivants.» Elle y associe également une activité de community management, convaincue que les réseaux sociaux peuvent devenir un espace d’expression authentique, « capable d’offrir des opportunités insoupçonnées si l’on ose s’y dévoiler ».
Une anecdote en témoigne : c’est grâce à sa communauté en ligne qu’elle a été invitée à couvrir un événement familial important d’une personnalité publique locale (elle habite près de Silly), un moment fort et rempli d’amour qu’elle n’aurait jamais imaginé vivre autrement.
«Aloha» : le mot qui ouvre le cœur
Si vous suivez Eleni sur les réseaux, vous remarquerez que tous ses posts commencent par « Aloha ». Un mot d’Hawaï qu’elle n’a jamais visité, mais dont elle partage la philosophie : «Je t’accepte tel que tu es, dans ton entièreté.» Tout est dit : chez Eleni, le regard photographique est avant tout un regard d’acceptation.
«Vibrations Neuropoétiques» : là où la science rencontre l’âme
Avec cette exposition, Eleni ose un pont audacieux entre neurosciences et poésie de l’âme. Ses autoportraits explorent les émotions comme des territoires intérieurs.
Chaque cliché devient une vibration, un écho à ce que nous portons de plus intime.
«Potentiellement, c’est le début de votre propre voyage intérieur.» dit’elle. «Cela peut déstabiliser ou au contraire résonner profondément.»
Sa démarche artistique est claire : élargir sans cesse sa zone de confort, se libérer des barrières mentales et inspirer chacun à prendre soin de soi, à guérir ses blessures, pour enfin aller vers une vie qui fait vibrer.
Et pour le faire elle vous invite à regarder, mais également à écouter, tout en respirant profondément «impire, expire, impire, expire»…
En effet, cette exposition pourra se vivre en véritable «expir…ience» de renaissance…si on le veut bien.
Pourquoi exposer à Mons et plus précisément chez Co-GuestHouse?
Pour sa toute première exposition, Eleni a choisi Mons, et plus précisément la Co-Gallery de notre Maison partagée. «J’ai choisi de faire mon expo chez Françoise que j’ai rencontrée au Cercle Les Dames de la Réunion en décembre dernier. Si elle avait été à Tournai, ça aurait été à Tournai.» Ce qui l’a touchée ? Son ouverture d’esprit et sa bienveillance. Françoise, travaillant alors auprès de personnes aveugles et malvoyantes, a su accueillir Eleni sans jugement, avec la curiosité et la confiance nécessaires pour lui offrir cet espace d’expression.
Et à la question sur ce qu’elle espère susciter auprès des visiteurs, Eleni répond simplement: «l’espoir»
Au cœur de ses photos, il y a un fil invisible : l’espoir. Celui de croire en soi malgré les doutes. Celui de renaître à la lumière après les ombres. Celui, enfin, de comprendre que chaque regard posé sur soi peut devenir une guérison.
Soyez les bienvenus dans notre maison partagée pour découvrir (avec vos écouteurs) cette exposition qui sera jointe à une bande sonore:
Le jeudi 27 novembre de 18h00 à 19h00, lors du Vernissage exclusif organisé en primeur pour les Dames de la Réunion. Il sera suivi d’une séance spéciale de présentation des membres. Les non membres sont acceptées sur invitation.
Le vendredi 28 novembre de 18h00 à 21h30 à l’occasion du Vernissage officiel ouvert à toutes et tous.
Entrez, entrez ! Bienvenue au MUMONS où l’électricité s’offre en spectacle dans une ambiance de fête foraine. Instruments rares, manipulations, grandes découvertes, recherche de pointe et débats d’actualité : l’exposition Électrique ! vous embarque dans une expérience immersive et sensorielle. Une exposition scientifique et… un brin magique ! Pour les plus audacieux, il se murmure même qu’une cartomancienne se cache dans le musée, prête à vous révéler votre avenir…
Des collections impressionnantes
Durant votre visite, ne vous laissez pas intimider par le charme de nos collections scientifiques. Machine de Wimshurst, dynamo de Gramme, résonateur d’Oudin, tubes de Crookes, bobine de Ruhmkorff… qu’elles aient une esthétique à couper le souffle, des dimensions XXL, ou l’air d’avoir plus d’un secret sous le capot, ces pièces rares vous feront frissonner d’émerveillement !
Rénovés, briqués, polis et mis sur leur 31 pour l’occasion, plus d’une cinquantaine d’objets sont exceptionnellement sortis des réserves de l’UMONS et de la Fédération Wallonie-Bruxelles pour raconter leur histoire.
Fée électricité et Frankenstein
Petits et grands, tendez l’oreille : ici, les « Ooooh », les « Waaaaa » et les « C’est booooow » fusent dans tous les sens. Et, au détour d’un couloir, une petite voix : « Hé Papy, c’est comme ça qu’on produisait l’électricité à ton époque ? »
Pour cette exposition, Pierre Gillis (physicien), Pauline Tisthoud (historienne) et Romane Duculot (historienne de l’art), ont uni leurs regards et brouillé les frontières entre sciences appliquées, sciences humaines et art pour raconter comment une force invisible a transformé – et transforme encore – notre monde.
Des tours de magie des électriciens du 18e siècle #abracadabra, aux crêpages de chignon entre savants #amourgloireetélectricité, en passant par trois siècles de recherche pour apprivoiser la fée électricité… l’histoire se déploie ici comme un véritable spectacle. Et vous êtes aux premières loges.
Familles, scolaires, experts, passionnés, curieux… Quelle que soit votre identité déclinée, vous serez aimantés par des expériences insolites, des films animés, des récits étonnants… d’ailleurs à ce stade, nous n’avons toujours pas tranché sur l’expérience la plus inédite que vous vivrez entre la contemplation de notre chambre à brouillard ou la fouille du smartphone de Frankenstein.
Au cœur du monde d’aujourd’hui
Un grand sage a dit un jour : « Comprendre le passé peut éclairer l’avenir ».
L’expo Électrique ! a quelque chose d’avant-gardiste ; elle est en phase, voire carrément en avance sur son temps. Profondément ancrée dans l’actualité, elle ouvre le dialogue avec les experts de l’UMONS autour des enjeux actuels – découvrez déjà les projets fous liés à l’exploration des fonds marins ou des astéroïdes en entrant dans l’histoire globale des techniques – et fait le tour des débats transdisciplinaires du moment : quand énergie rime avec climat et environnement, géostratégie et politique.
Prêts pour le grand frisson ?
N’attendez plus : ce parcours vertigineux, presque acrobatique, n’attend que vous. D’hier à aujourd’hui, une expo qui regarde loin (mais loiiin !) vers l’avenir. Le chapiteau ouvrira ses portes tout l’été pour recueillir vos impressions et peaufiner nos visites guidées… avant l’ouverture officielle :
Paul Verlaine, Cécile Detournay, Marguerite Bervoets, Fernand Dumont. Quatre noms, quatre destins, un point commun : tous ont connu les murs de la prison de Mons.
À travers leurs parcours, cette exposition explore ce que produit l’enfermement : des silences, des absences, mais aussi des formes de résistance, des mots, des gestes, des objets. Car même dans un contexte de privation, l’expression subsiste.
Sous le commissariat de Karelle Ménine et Pierre Liebaert, L’esprit carcéral propose une lecture croisée de différentes expériences de détention. Elle met en lumière des archives souvent incomplètes, des fragments conservés — lettres, photographies, notes manuscrites, broderies — qui témoignent d’un besoin de tenir, de transmettre ou simplement d’exister.
L’exposition s’appuie également sur les collections Mémoire et Histoire Militaire de la Ville de Mons, qui documentent les productions réalisées par des prisonniers pendant les deux guerres mondiales. Ces objets, créés dans des conditions précaires, rappellent la manière dont chaque individu tente de préserver son équilibre face à la contrainte.
L’esprit carcéral rassemble ainsi les traces de parcours variés — prisonniers de guerre, résistants, détenus de droit commun — pour poser un regard élargi sur l’enfermement. Sans chercher à comparer les situations, l’exposition donne à voir ce que ces vies disent du rapport entre isolement, création et survie.
scénographie lumineuse et sonore est signée Jonathan O’Hear.
Le Mons Memorial Museum présente sa nouvelle exposition temporaire, « L’esprit carcéral. Verlaine, Dumont, Detournay, Bervoets et la prison de Mons », du 12 juillet au 10 mai.
À travers les trajectoires de Paul Verlaine, Cécile Detournay, Marguerite Bervoets et Fernand Dumont, l’exposition interroge les effets de l’enfermement — ses silences, ses absences, mais aussi les formes de résistance qu’il suscite. Sous le commissariat de Karelle Ménine et Pierre Liebaert, elle rassemble archives, objets, lettres, photographies et créations issues de différentes expériences de détention — prisonniers de guerre, résistants, détenus de droit commun — pour poser un regard élargi sur l’enfermement.
Plongez dans un voyage captivant à travers les rêves, les idéaux et les projets de cités idéales qui ont marqué l’histoire, du 19e siècle à aujourd’hui. “Cité des possibles – Des utopies aux réalités de demain” invite les visiteurs à explorer les visions architecturales et humanistes qui ont façonné ces utopies, tout en interrogeant leurs impacts sur notre société actuelle. De l’idée au développement, des débats aux dérives, l’exposition met en lumière les multiples facettes de ces projets, à travers des documents et des dispositifs interactifs.
Au cœur de l’exposition, le projet visionnaire de la Cité Mondiale imaginé par Paul Otlet, cofondateur du Mundaneum. Ce pionnier rêvait d’un espace universel dédié à la connaissance et à la coopération internationale, une ville pensée pour promouvoir la paix et le progrès. Avec l’aide de ses collaborateurs, dont Henri et Léonie La Fontaine, ainsi que des architectes de renom comme Le Corbusier, il imaginait une cité rassemblant tous les savoirs intellectuels du monde, un modèle de ville parfaite, au-delà des frontières géographiques et idéologiques. Bien que la Cité Mondiale ne soit jamais devenue réalité, elle demeure une source d’inspiration puissante et intemporelle.
La Cité radieuse
L’exposition explore également de nombreux autres projets, passés et contemporains, qui redéfinissent et repensent notre rapport au monde. Ces initiatives, nées parfois dans des contextes très différents, continuent de nous inspirer pour repenser la ville, son organisation et ses fonctions afin de répondre aux défis de notre époque, tels que la crise climatique, les inégalités sociales, ou encore les questions de mobilité. Certains de ces projets sont profondément influencés par des idéaux humanistes, d’autres cherchent à concilier progrès architectural, qualité de vie et durabilité. À travers ces exemples, l’exposition s’interroge aussi sur les dérives et les obstacles politiques, économiques ou sociaux qui ont entravé certaines de ces utopies, transformant des rêves ambitieux en échecs ou en dystopies.
“Cités des possibles – Des utopies aux réalités de demain” propose un parcours stimulant, qui invite à rêver, questionner et réinventer le futur de nos cités.
Comment repenser nos façons d’habiter et de coexister dans un monde en mutation ? Quels enseignements pouvons-nous tirer de ces utopies pour relever les défis du vivre-ensemble aujourd’hui ?
À travers ces réflexions, l’exposition ouvre un dialogue entre passé et présent, idéal et réalité, et incite chacun à imaginer des solutions innovantes pour les espaces urbains de demain.
J'ai créé ce blog en 2014 après m'être rendu compte que les évènements montois n'étaient pas assez mis en évidence dans les divers médias. Le succès a été immédiat et j'y annonce les diverses manifestations culturelles à Mons les spectacles, concerts, fêtes et expositions diverses et ce gratuitement.
Je suis aussi très actif sur les réseaux sociaux avec les pages Doudou Mons et Mons Info. Enfin je suis co-organisateur de plusieurs évènements à Mons comme le Beatles Day, le festival de la chanson française et fête de ma musique.
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Merci