Expo Art Storm Fragments de légendes by Mann du




CAP/musée des Beaux-Arts de Mons
EXPO David Hockney. Le Chant de la Terre
Avec Vincent van Gogh, Edvard Munch, Gustav Mahler, …
04.10.2025 > 25.01.2026
Du 4 octobre 2025 au 25 janvier 2026, le CAP présente l’exposition David Hockney. Le Chant de la Terre, un parcours polyphonique associant peinture, musique et poésie avec la symphonie de Gustav Mahler comme fil conducteur.
Sous le commissariat d’Isabelle Cahn, conservatrice générale honoraire du musée d’Orsay, l’exposition réunit un ensemble exceptionnel de peintures de l’artiste britannique David Hockney, dont certaines de format monumental, ainsi que des compositions réalisées sur iPad. Autour de cette figure centrale, l’exposition met en regard des œuvres de Vincent van Gogh, Edvard Munch, Constantin Meunier, et une sélection de peintres symbolistes nordiques du tournant du XXe siècle, dont le Finlandais Albert Edelfelt et l’Estonien Konrad Mägi.
Déployée en six sections et trois espaces immersifs, dont la scénographie a été pensée par Sylvain Roca, l’exposition explore la relation profonde entre l’homme et la nature : la terre nourricière, les champs, les saisons, les fleurs, la solitude, la poésie. Chaque salle fait dialoguer peinture, musique et texte, en résonance avec Le Chant de la Terre de Mahler. Composée en 1907-1908, cette œuvre rend hommage à la nature, à sa beauté fragile et à sa force vitale. Elle agit ici comme un fil conducteur : un souffle commun qui traverse les œuvres, relie les artistes et accompagne le visiteur dans une expérience à la fois visuelle et sonore.
Avec le soutien du Fonds européen de développement régional (FEDER) et de la Wallonie.









🚨 Après deux mois d’errance dans le Borinage, l’exposition « Black Maroû » débarque au Magasin de papier, à Mons ! 🐈⬛
1️⃣ Vernissage au Magasin de papier (rue de la clef à Mons) le samedi 8 novembre dès 18h30 – accès libre, bienvenue à toutes et tous.
🐈⬛ Un projet piloté par Ardeyon asbl.
Visitez https://ardeyonasbl.org/ 🐈⬛
https://ardeyonasbl.org/collectif-black-marou


Du 28 août 2025 au 5 juillet 2026

Entrez, entrez ! Bienvenue au MUMONS où l’électricité s’offre en spectacle dans une ambiance de fête foraine. Instruments rares, manipulations, grandes découvertes, recherche de pointe et débats d’actualité : l’exposition Électrique ! vous embarque dans une expérience immersive et sensorielle. Une exposition scientifique et… un brin magique ! Pour les plus audacieux, il se murmure même qu’une cartomancienne se cache dans le musée, prête à vous révéler votre avenir…

Durant votre visite, ne vous laissez pas intimider par le charme de nos collections scientifiques. Machine de Wimshurst, dynamo de Gramme, résonateur d’Oudin, tubes de Crookes, bobine de Ruhmkorff… qu’elles aient une esthétique à couper le souffle, des dimensions XXL, ou l’air d’avoir plus d’un secret sous le capot, ces pièces rares vous feront frissonner d’émerveillement !
Rénovés, briqués, polis et mis sur leur 31 pour l’occasion, plus d’une cinquantaine d’objets sont exceptionnellement sortis des réserves de l’UMONS et de la Fédération Wallonie-Bruxelles pour raconter leur histoire.


Petits et grands, tendez l’oreille : ici, les « Ooooh », les « Waaaaa » et les « C’est booooow » fusent dans tous les sens. Et, au détour d’un couloir, une petite voix : « Hé Papy, c’est comme ça qu’on produisait l’électricité à ton époque ? »
Pour cette exposition, Pierre Gillis (physicien), Pauline Tisthoud (historienne) et Romane Duculot (historienne de l’art), ont uni leurs regards et brouillé les frontières entre sciences appliquées, sciences humaines et art pour raconter comment une force invisible a transformé – et transforme encore – notre monde.
Des tours de magie des électriciens du 18e siècle #abracadabra, aux crêpages de chignon entre savants #amourgloireetélectricité, en passant par trois siècles de recherche pour apprivoiser la fée électricité… l’histoire se déploie ici comme un véritable spectacle. Et vous êtes aux premières loges.
Familles, scolaires, experts, passionnés, curieux… Quelle que soit votre identité déclinée, vous serez aimantés par des expériences insolites, des films animés, des récits étonnants… d’ailleurs à ce stade, nous n’avons toujours pas tranché sur l’expérience la plus inédite que vous vivrez entre la contemplation de notre chambre à brouillard ou la fouille du smartphone de Frankenstein.
Un grand sage a dit un jour : « Comprendre le passé peut éclairer l’avenir ».
L’expo Électrique ! a quelque chose d’avant-gardiste ; elle est en phase, voire carrément en avance sur son temps. Profondément ancrée dans l’actualité, elle ouvre le dialogue avec les experts de l’UMONS autour des enjeux actuels – découvrez déjà les projets fous liés à l’exploration des fonds marins ou des astéroïdes en entrant dans l’histoire globale des techniques – et fait le tour des débats transdisciplinaires du moment : quand énergie rime avec climat et environnement, géostratégie et politique.
N’attendez plus : ce parcours vertigineux, presque acrobatique, n’attend que vous. D’hier à aujourd’hui, une expo qui regarde loin (mais loiiin !) vers l’avenir. Le chapiteau ouvrira ses portes tout l’été pour recueillir vos impressions et peaufiner nos visites guidées… avant l’ouverture officielle :








MONS MEMORIAL MUSEUM 51 BOULEVARD DOLEZ MONS

Paul Verlaine, Cécile Detournay, Marguerite Bervoets, Fernand Dumont. Quatre noms, quatre destins, un point commun : tous ont connu les murs de la prison de Mons.
À travers leurs parcours, cette exposition explore ce que produit l’enfermement : des silences, des absences, mais aussi des formes de résistance, des mots, des gestes, des objets. Car même dans un contexte de privation, l’expression subsiste.
Sous le commissariat de Karelle Ménine et Pierre Liebaert, L’esprit carcéral propose une lecture croisée de différentes expériences de détention. Elle met en lumière des archives souvent incomplètes, des fragments conservés — lettres, photographies, notes manuscrites, broderies — qui témoignent d’un besoin de tenir, de transmettre ou simplement d’exister.
L’exposition s’appuie également sur les collections Mémoire et Histoire Militaire de la Ville de Mons, qui documentent les productions réalisées par des prisonniers pendant les deux guerres mondiales. Ces objets, créés dans des conditions précaires, rappellent la manière dont chaque individu tente de préserver son équilibre face à la contrainte.
L’esprit carcéral rassemble ainsi les traces de parcours variés — prisonniers de guerre, résistants, détenus de droit commun — pour poser un regard élargi sur l’enfermement. Sans chercher à comparer les situations, l’exposition donne à voir ce que ces vies disent du rapport entre isolement, création et survie.
scénographie lumineuse et sonore est signée Jonathan O’Hear.




