L’ASBL Art-Culture et la St’Artgallery ont le plaisir de vous inviter au vernissage de la prochaine exposition « Corps & Matières », réunissant Rose Kondrativ (peintre) et David Ferreira (sculpteur). ✨ 📅 Vernissage : vendredi 14 novembre 2025 à 19h 📍 Adresse : Rue d’Havré 27, 7000 Mons 🗓️ Exposition du 14 novembre au 7 décembre 2025 🕙 Horaires : du Mardi au Vendredi de 10h à 18h & tous les week-ends de 14h à 18h 🎟️ Entrée libre
Et comme toujours, 25 % du montant de chaque vente seront reversés à la Cité de l’Enfance de Mons.
L’ASBL Art-culture et la Galerie Studio 33 a le plaisir de vous inviter au vernissage de sa prochaine exposition “Art’mitiés”
Réunissant le sculpteur Jean Delcourt et la peintre Bernadette Triki.
Vernissage : vendredi 14 novembre à 19h
Studio 33 – Rue d’ Havré 33, 7000 Mons
L’entrée au vernissage se fera uniquement sur réservation avant le 05 Novembre. Merci de confirmer votre présence par mail à l’une des adresses suivantes :assistant.taylanesen@gmail.com ou info@alfredolongo.com
L’exposition se tiendra du 14 novembre 2025 au 11 janvier 2026,
Ouverture :
Du mardi au vendredi de 10h à 18h
Le samedi de 11h à 18h
Le dimanche de 14h à 18h
Nous espérons vous y retrouver nombreux pour partager ce beau moment ensemble !
La Ville de Mons présente, du 21 novembre 2025 au 7 mars 2026, Adamo. Racines et résonances, à la Salle Reghem de la bibliothèque de Jemappes. L’exposition propose une déambulation sensible dans les premières années de Salvatore Adamo à Jemappes et dans le Borinage, à travers archives sonores et vidéos, objets personnels, manuscrits, photos, disques et témoignages. Elle met en lumière ses racines siciliennes, le quotidien d’une famille ouvrière dans la Belgique d’après-guerre, son éveil artistique et ses premiers pas sur scène.
L’exposition Adamo. Racines et résonances constitue un premier jalon vers la future Maison Adamo, qui prendra place dans la maison familiale de Jemappes et permettra de prolonger le récit des origines et de la carrière de Savaltore Adamo au sein d’un espace polyvalent. Fils aîné d’une famille d’immigrés italiens, Adamo grandit au rythme des solidarités ouvrières, des langues mêlées dans les quartiers populaires et de la rudesse du quotidien. L’exposition raconte comment, dans ce contexte, un adolescent timide et déterminé découvre la poésie, la musique et les premières scènes.
La visite s’ouvre sur une frise biographique, à la fois ligne du temps et ligne de vie, qui situe les grandes étapes de sa vie. Trois séquences structurent le parcours : les racines et l’exil ; l’enfant et la voix ; l’essor d’un poète populaire. On y découvre archives inédites, affiches de concerts, photos de scène, extraits d’interviews et images de Jemappes, qui relient souvenirs personnels, patrimoine local et mémoire collective.
Un dispositif sonore et audiovisuel accompagne la visite : capsules, points d’écoute et ambiances discrètes tissent un lien sensible entre mémoire et émotion. La visite se conclut dans un espace de repos et de médiation, avec playlist multilingue et lettre d’Adamo aux visiteurs.
L’exposition propose un travail de fond sur la genèse artistique et une lecture sensible des liens entre ancrage territorial et émergence artistique. Elle constitue également un premier jalon vers la future Maison Adamo, qui prendra place dans la maison familiale de Jemappes, et pose les bases d’un récit muséographique appelé à s’inscrire durablement dans le patrimoine local.
Horaires d’ouverture Mardi, mercredi, vendredi de 10h à 17h. Jeudi de 10h à 16h. Samedi de 10h à 12h30. Fermé le 04.12 et du 21.12 au 05.01
Entrez, entrez ! Bienvenue au MUMONS où l’électricité s’offre en spectacle dans une ambiance de fête foraine. Instruments rares, manipulations, grandes découvertes, recherche de pointe et débats d’actualité : l’exposition Électrique ! vous embarque dans une expérience immersive et sensorielle. Une exposition scientifique et… un brin magique ! Pour les plus audacieux, il se murmure même qu’une cartomancienne se cache dans le musée, prête à vous révéler votre avenir…
Des collections impressionnantes
Durant votre visite, ne vous laissez pas intimider par le charme de nos collections scientifiques. Machine de Wimshurst, dynamo de Gramme, résonateur d’Oudin, tubes de Crookes, bobine de Ruhmkorff… qu’elles aient une esthétique à couper le souffle, des dimensions XXL, ou l’air d’avoir plus d’un secret sous le capot, ces pièces rares vous feront frissonner d’émerveillement !
Rénovés, briqués, polis et mis sur leur 31 pour l’occasion, plus d’une cinquantaine d’objets sont exceptionnellement sortis des réserves de l’UMONS et de la Fédération Wallonie-Bruxelles pour raconter leur histoire.
Fée électricité et Frankenstein
Petits et grands, tendez l’oreille : ici, les « Ooooh », les « Waaaaa » et les « C’est booooow » fusent dans tous les sens. Et, au détour d’un couloir, une petite voix : « Hé Papy, c’est comme ça qu’on produisait l’électricité à ton époque ? »
Pour cette exposition, Pierre Gillis (physicien), Pauline Tisthoud (historienne) et Romane Duculot (historienne de l’art), ont uni leurs regards et brouillé les frontières entre sciences appliquées, sciences humaines et art pour raconter comment une force invisible a transformé – et transforme encore – notre monde.
Des tours de magie des électriciens du 18e siècle #abracadabra, aux crêpages de chignon entre savants #amourgloireetélectricité, en passant par trois siècles de recherche pour apprivoiser la fée électricité… l’histoire se déploie ici comme un véritable spectacle. Et vous êtes aux premières loges.
Familles, scolaires, experts, passionnés, curieux… Quelle que soit votre identité déclinée, vous serez aimantés par des expériences insolites, des films animés, des récits étonnants… d’ailleurs à ce stade, nous n’avons toujours pas tranché sur l’expérience la plus inédite que vous vivrez entre la contemplation de notre chambre à brouillard ou la fouille du smartphone de Frankenstein.
Au cœur du monde d’aujourd’hui
Un grand sage a dit un jour : « Comprendre le passé peut éclairer l’avenir ».
L’expo Électrique ! a quelque chose d’avant-gardiste ; elle est en phase, voire carrément en avance sur son temps. Profondément ancrée dans l’actualité, elle ouvre le dialogue avec les experts de l’UMONS autour des enjeux actuels – découvrez déjà les projets fous liés à l’exploration des fonds marins ou des astéroïdes en entrant dans l’histoire globale des techniques – et fait le tour des débats transdisciplinaires du moment : quand énergie rime avec climat et environnement, géostratégie et politique.
Prêts pour le grand frisson ?
N’attendez plus : ce parcours vertigineux, presque acrobatique, n’attend que vous. D’hier à aujourd’hui, une expo qui regarde loin (mais loiiin !) vers l’avenir. Le chapiteau ouvrira ses portes tout l’été pour recueillir vos impressions et peaufiner nos visites guidées… avant l’ouverture officielle :
Paul Verlaine, Cécile Detournay, Marguerite Bervoets, Fernand Dumont. Quatre noms, quatre destins, un point commun : tous ont connu les murs de la prison de Mons.
À travers leurs parcours, cette exposition explore ce que produit l’enfermement : des silences, des absences, mais aussi des formes de résistance, des mots, des gestes, des objets. Car même dans un contexte de privation, l’expression subsiste.
Sous le commissariat de Karelle Ménine et Pierre Liebaert, L’esprit carcéral propose une lecture croisée de différentes expériences de détention. Elle met en lumière des archives souvent incomplètes, des fragments conservés — lettres, photographies, notes manuscrites, broderies — qui témoignent d’un besoin de tenir, de transmettre ou simplement d’exister.
L’exposition s’appuie également sur les collections Mémoire et Histoire Militaire de la Ville de Mons, qui documentent les productions réalisées par des prisonniers pendant les deux guerres mondiales. Ces objets, créés dans des conditions précaires, rappellent la manière dont chaque individu tente de préserver son équilibre face à la contrainte.
L’esprit carcéral rassemble ainsi les traces de parcours variés — prisonniers de guerre, résistants, détenus de droit commun — pour poser un regard élargi sur l’enfermement. Sans chercher à comparer les situations, l’exposition donne à voir ce que ces vies disent du rapport entre isolement, création et survie.
scénographie lumineuse et sonore est signée Jonathan O’Hear.
Le Mons Memorial Museum présente sa nouvelle exposition temporaire, « L’esprit carcéral. Verlaine, Dumont, Detournay, Bervoets et la prison de Mons », du 12 juillet au 10 mai.
À travers les trajectoires de Paul Verlaine, Cécile Detournay, Marguerite Bervoets et Fernand Dumont, l’exposition interroge les effets de l’enfermement — ses silences, ses absences, mais aussi les formes de résistance qu’il suscite. Sous le commissariat de Karelle Ménine et Pierre Liebaert, elle rassemble archives, objets, lettres, photographies et créations issues de différentes expériences de détention — prisonniers de guerre, résistants, détenus de droit commun — pour poser un regard élargi sur l’enfermement.
J'ai créé ce blog en 2014 après m'être rendu compte que les évènements montois n'étaient pas assez mis en évidence dans les divers médias. Le succès a été immédiat et j'y annonce les diverses manifestations culturelles à Mons les spectacles, concerts, fêtes et expositions diverses et ce gratuitement.
Je suis aussi très actif sur les réseaux sociaux avec les pages Doudou Mons et Mons Info. Enfin je suis co-organisateur de plusieurs évènements à Mons comme le Beatles Day, le festival de la chanson française et fête de ma musique.
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