Des enseignes remarquables à Mons par Philippe Yannart
LES OBJETS
ENSEIGNES REMARQUABLES DE MONS 1 :
Les enseignes sont avant tout un moyen de communication destiné à signifier le rôle et la place que le commerce qu’elles représentent joue dans la cité. Autrefois, elles étaient largement répandues dans nos contrées ; elles constituaient alors la seule espèce de publicité commerciale qui existât. Elles devaient être particulièrement expressives – et à tout le moins susceptibles de frapper les imaginations pour être retenues – dans la mesure où elles s‘adressaient à des clients ou à des utilisateurs qui, pour la plupart, étaient analphabètes. (d’après Albert Liénard, dans Enseignes Images de pierre, aux Editions du Perron. 1991.) Léopold Devillers disait, en 1859, que les enseignes d’autrefois étaient en quelque sorte des noms propres donnés aux maisons.
A une époque où les maisons n’étaient pas numérotées, seules les enseignes qui décoraient les immeubles permettaient de les localiser. La numérotation des maisons – comme aussi l’apposition au coin des rues de plaques indicatrices mentionnant le nom de ces rues – semble ne remonter qu’à la période française, et encore, uniquement pour les artères principales de la ville. La première mesure générale concernant le Hainaut nous est donnée par un avis officiel contenu dans le n° 121, du vendredi 16 septembre 1808, du « Mémorial du Département de Jemappes ».
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Cet avis émanant de la préfecture est intitulé : « Cahier des charges du numérotage des maisons du Département ». En voici les éléments principaux :
« Chaque numéro sera inscrit en écusson de 20 centimètres de haut, de 20 centimètres de largeur par le haut ; l’écusson sera bordé d’un liseré de même couleur que le numéro et de la largeur d’un centimètre. Les numéros auront 4,5 centimètres de haut. Les couleurs de l’écusson et du numéro seront : champ jaune, numéros noirs pour Tournay : champ blanc et numéros noirs pour Mons ; champ noir et numéros blancs pour Charleroy. » Le cahier des charges prévoyait également la pose par l’adjudicataire de plaques en fer blanc indicatives des rues ou des sections. Elles devaient avoir une dimension de 25 centimètres de haut sur 30 centimètres de large. (Albert De Haene. Á travers le Mons d’Autrefois. Ed. « La Province » Mons 1936)
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Sous le régime français, au temps de la domination hollandaise et jusqu’à la fin de l’année 1846, la numérotation des maisons montoises n’était pas celle à laquelle nous sommes habitués de nos jours. En ces temps-là les nombres pairs et impairs se succédaient d’un côté de la rue puis de l’autre.
Ce fut le 8 octobre 1846 que notre Administration Communale adopta le système de numérotation que nous employons actuellement. Le bouleversement apporté par la réforme ainsi que les modifications résultant de démolitions, de constructions, d’immeubles nouveaux prenant la place d’un nombre différent d’immeubles anciens, rendent parfois bien difficile, si pas impossible, la reconstitution d’un plan cadastral ancien et l’identification de l’emplacement de maisons connues uniquement par leur enseigne ou leur dénomination.
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Dans les cités moyenâgeuses, les édifices publics étaient connus de tous par leur destination : églises, chapelles, maisons religieuses, hospices ou bien bâtiments tels que « Maison de la paix », devenue plus tard Hôtel de ville, ou encore, Arsenal, Halles, Poids du Roy, etc… Les demeures des nobles étaient désignées par les noms de famille qui les avaient édifiées ou qui y résidaient. Ce furent les hôtels de Boussu, de Chièvres, de Chimay, d’Haverech, de Housdeng, de Verchin, pour ne citer que les premiers en date. Quant aux demeures des bourgeois, elles étaient rendues reconnaissables par une dénomination, par une enseigne. Il est infiniment probable que, dans les débuts, la dénomination seule existait et qu’une représentation graphique ou autre sur la façade de la maison était plutôt rare. Ce ne fut probablement que plus tard, lorsque les maisons en bois gagnèrent en hauteur et surtout lorsque les bourgeois se mirent à construire des maisons en pierre à l’exemple des maisons patriciennes, que la mode des enseignes put se développer.
Aucune enseigne datant de cette époque ne nous est parvenue. La plupart des vieilles enseignes en fer forgé ou en cuivre accrochées aux façades, souvent perpendiculairement, et présentant de ce fait un danger pour les piétons et les cavaliers, ne survécurent pas aux maisons en bois qu’elles ornaient.
LES ANIMAUX
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Avec le temps, la coutume de plus en plus répandue de construire en pierre, puis en pierre et briques, favorisa la généralisation des enseignes de pierre, soit gravées, soit sculptées dans la muraille, soit adossées à celle-ci.
Les destructions massives de l’habitat montois provoquées par l’intense bombardement de l’artillerie française au cours du siège de la ville par Louis XIV ont entraîné la reconstruction de quartiers entiers. C’est à cette époque que presque toutes les maisons en bois disparurent. Car, incendiées, elles ne purent être reconstruites que selon les prescriptions contenues dans l’ordonnance datée du 5 juin 1691 promulguée par l’intendant français Daniel Voisin qui stipulaient entre autres : « Les maisons qui seront rebasties ne pourront être dans leurs faces, du côté des rues, que de pierre de taille et briques couvertes d’ardoises et de tuilles. Faisons deffence de les bastir de bois… Il ne pourra y avoir aucune avance, encorbellement, empiètement, balcons, trompes saillantes ni saillies, hormis celle des architectures, le tout suivant les alignements et desseins qui seront donnés… l ne sera permis de poser aucun auvent, travail, étai ny enseignes, qu’ils n’en avertissent le sieur Levé, architecte du Roy, qui en donnera l’alignement et saillie. » En dehors de quelques rares spécimens plus anciens qui ont survécu, c’est donc, à partir de cette époque que nous trouvons les plus vieilles enseignes ornant les façades de Mons.
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Au XVIIIe siècle, comme précédemment, chaque maison avait son enseigne, qui lui tenait lieu de numéro, et qui fixait son état civil pour les documents officiels comme pour les actes notariés. On se demande, dès lors, à la suite de quelles mésaventures tant d’enseignes datant de cette époque ont disparu, alors que les immeubles qu’elles ornaient sont encore là.
Le vandalisme révolutionnaire détruisit certainement, à partir de 1792, maintes enseignes dont le caractère religieux, monarchique ou autre, n’était pas du goût des Sans-Culottes ou de leurs imitateurs. La peur d’être considérés comme « suspects » incita d’autres montois à faire disparaître tout symbole susceptible d’être rangé avec plus ou moins de vraisemblance dans la catégorie des manifestations réactionnaires, antirépublicaines. Mais la destruction ou la mutilation de la majeure partie de nos vieilles enseignes est surtout due à l’ignorance, au manque de goût des propriétaires, à un certain mépris des souvenirs du passé assez étonnant dans une ville de province aussi jalousement attachée à ses traditions. Elle est due aussi à la totale indifférence, en ce domaine, des administrations communales de la majeure partie du XIXe siècle.
LES PERSONNAGES
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La mode contribua elle aussi à la disparition – ou tout au moins à l’éclipse – de nombre d’enseignes. En cause les badigeons ou autres crépis qui recouvrirent, au cours du XIXe siècle, en couches multiples les maisons élégantes du vieux Mons, voilant ou sacrifiant maintes inscriptions ou gravures dans la pierre, et plus récemment, ce besoin qu’eurent les propriétaires de mutiler ou d’enlaidir leur façade, de faire disparaître ou d’abîmer des sculptures anciennes pour les remplacer par de banales planches de bois peint mentionnant le nom du commerçant ou l’indication de son négoce. Sans parler de l’éventrement systématique, à partir de la fin du XIXe siècle, des rez-de-chaussée de la plupart des maisons des rues commerçantes aux fins de donner une vitrine aux boutiques pour attirer la clientèle.
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Les enseignes qui nous sont parvenues sont en pierre taillée généralement constituées d’un panneau sur lequel est représenté un motif ayant un rapport évident ou non avec le commerce qu’il désigne. On remarque que pour 90% des maisons de style classique ou traditionnel, l’enseigne en pierre s’inscrit au dessus de la porte d’entrée, dans le mur sous appui du premier étage, c’est-à-dire sous une fenêtre, généralement celle du milieu, dans l’allège dont elle adopte la forme et les dimensions. Elle est donc intégrée à l architecture qui la supporte, et c’est la raison pour laquelle elle nous est parvenue. Elle est donc, la plupart du temps, de forme rectangulaire et plus rarement carrée. Quand elle ne remplit pas tout l’espace sous appui, elle s’inscrit dans l’allège de laquelle elle se démarque par un panneau en légère saillie à bords droits avec des coins écornés ou non, mais l’enseigne en ronde bosse fait exception à ce principe en s’adossant à un élément de la façade.
Le matériau utilisé est la pierre calcaire, peu coûteuse, de taille aisée donnant un résultat raffiné dont les XVIIe et XVIIIe siècles feront grand usage. D’autre part, les enseignes en pierre consistent en l’expression d’un statut affirmé de manière plus évidente qu’une enseigne en bois ou en métal. Elles étaient certainement colorées, à l’instar du restant de la construction dont les parties en briques, et parfois même celles en pierre, étaient alors enduites et peintes. La dorure occupe évidemment la première place, que ce soit pour le motif central ou l’épigraphie, mais on utilisait également des couleurs.
SYMBOLES
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La grande majorité des enseignes était travaillée en bas ou demi-relief, c’est-à-dire que la sculpture se présente en légère saillie par rapport au panneau qui la contient, ou est engagée dans celui-ci. Ce qui permet de confirmer le rôle d’identification qu’elles remplissaient plutôt que celui de support publicitaire destiné à attirer le client, car bien moins visibles qu’une enseigne placée perpendiculairement à la façade.
Le motif peut être totalement isolé sur son panneau ou au centre d’un ornement stylisé ou non. Il peut aussi s’accompagner d’un millésime gravé, rarement sculpté. Un certain nombre est accompagné d’une épigraphie inscrite soit sur un ruban à passementeries, soit dans un phylactère ou plus simplement sur un bandeau placé sous le motif ou de part et d’autre de celui-ci ou alors à même le panneau. N’oublions pas que ces mentions n’étaient compréhensibles que par une élite alphabétisée, mais elles avaient certainement un impact auprès de la majorité des passants comme élément de prestige car l’écriture était une preuve de raffinement et une marque d’aisance de la part du commerçant. La sentence exprimée identifie complémentairement le motif exprimé, réalisant ainsi une adéquation du texte et de l’image. (Enseignes, images de pierre. Rhaur. Division des monuments sites et fouilles)
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La fantaisie la plus absolue présida, bien entendu, au baptême des anciennes habitations. Tout naturellement, l’esprit profondément religieux de l’époque imprima sa marque sur un très grand nombre de ces dénominations : en dehors des ecclésiastiques, en dehors même des aubergistes recrutant plus particulièrement leur clientèle parmi les pèlerins (Auberge Ste-Barbe au faubourg d’Havré ; de l’Ange, rue de la Chaussée ; de l’Ange Raphaël, rue des Juifs ; etc…),beaucoup de particuliers, commerçants ou autres, tinrent à placer leur demeure sous le symbole d’un céleste patron ou d’un objet du culte.
L’enseigne la plus usitée dans cette catégorie, est celle constituée par le monogramme du Christ IHS (Iesus Hominum Salvator) qui se dénommait « Au Saint Nom de Jésus » ; nous la retrouvons dans bon nombre de rues. Puis, ce sont des appellations comme : « A la Croix d’Argent », « A la Garde de Dieu », d’autres comme « A Sainte Waudru », « Au Grand Saint Pierre », « A Saint Eloy », « A Saint Joseph », « A Sainte Christine », etc…
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Marchands et artisans se choisirent bien souvent des enseignes rappelant leur commerce ou leur métier. Hôteliers ou aubergistes adoptèrent maintes fois des dénominations empruntées à des établissements en vogue dans d’autres villes.
Rentrent dans ces catégories, des désignations telles que : « A la couple de Bécasses » (auberge), « Au Trois Verd Chapeaux », « Au Flacon d’Or », « Au pot d’étain », « Au Grand Faisan », « A la Botte Romaine », etc…
Les légendes du passé, les traditions locales, parfois les allusions, les rébus, ou les mots plaisants, ou bien tout simplement la fantaisie quelque peu échevelée d’habitants peu moroses ne furent pas étrangers à la naissance d’appellations autant poétiques que pleines de charme.
FOLKLORE
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Dans l’étude publiée en 1859 dans le tome II des Annales du Cercle Archéologique de Mons par le très érudit Léopold Devillers, relevons quelques-unes de ces enseignes parmi les plus curieuses : « Au Durmené » (estaminet, Grand-Place n°8), « A la Jambe de Fer », au n° 46 de la rue de la Coupe ; « Au Jambon de Bois, on loge à pied », auberge, rue des Epingliers n° 12 ; « Au Moriane » (enseigne de la maison de tabac Poulain-Delvaux représentant un «moricaud» (en wallon liégeois môriane) fumant la pipe et tenant à la main un cône ou carotte de tabac), 12 rue de la Chaussée ; « Au Patacon », rue de la Clef n°16 ; « Au Perroquet Couronné », « A la Bourse Vide », « A la Truie qui file », rue d’Havré ; « A la sirène de Mer », rue de la Clef ; « Au Chaud Caillou », « Au lièvre Courant », rue du Hautbois ; « A la Peine perdue » (dans la rue du même nom, enseigne qui représentait un barbier savonnant un noir et s’efforçant de le blanchir), « A la Tour Jolie », au Petit Marché ; « A la Grande Ecritoire », rue de la Coupe ; « Au Dromadaire », rue des Fripiers ; « Au Fer de Charrue », « Au Rouge Cœur », rue Notre-Dame ; « A la Corne de Bœuf », Croix-Place ; « A la Bonne Moutarde », « Au Lettrier », rue des Juifs ; « Au Cœur sur l’Eau », rue du Trou Oudart ; « A la Noire Teste », « Au Pied Blanc », A la Garde de Dieu », Grand-Rue ; « Au Cœur Joyeux », rue de la Petite Guirlande ; Au Boulduc », rue de Cantimpret ; « A la Paix de Cœur », au Béguinage, « Au Cheval Volant », « Au « Papegay verd » (perroquet en Néerlandais), « Au Grand Ange », « Au Petit Ange », rue de la Chaussée ; « A l’arbre Secq », rue des Telliers ; « Au Verd Galant », « A la Rose d’Amour », place du Parc, « A la Bonne Femme », n°8, « A la Dogresse » – 1735 n°42 de la rue du Parc.
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L’or, ce métal si rare, s’étalait généreusement dans les titres et sur la représentation de centaines d’enseignes de l’ancien temps : Aigle, Aulne, Bocquet, Branche, Cordon, Cornet, Chaudron, Couppe, Clef, Ecaille, Escafiotte, Etoile, Faulx, Flacon, Horloge, Lion, Moule, Mousqueton, noyau, Paon, Poire, Porc, Singe, Tortue, etc… tout était d’or, jusqu’à « La Potence d’Or » (auberge au coin des rues d’Havré et des Groseillers).
Il est fort dommage que toutes ces jolies appellations aient disparu de nos jours car elles mettaient sans doute une certaine gaieté dans les rues de la cité, dénotant beaucoup de joie de vivre chez nos aïeux. Pour beaucoup, on serait amené à se demander par quelle intime sollicitation elles ont été inventées, quelle transcription personnelle elles voulaient apporter. On ne le saura sans doute jamais.
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Dans son étude de 1859, Léopold Devillers a relevé soigneusement toutes les vieilles enseignes encore existantes à son époque ; il en a dressé un tableau comportant 76 noms et a complété cette liste fort brève par la longue énumération de centaines d’enseignes déjà disparues. Quelques années plus tard, entre 1869 et 1871, le montois Léon Dolez reproduisit les enseignes encore apparentes et quelques unes dont il se souvenait. Ses dessins sont heureusement conservés à la bibliothèque de l’université de Mons. Parmi celles-ci, force est de constater que nombre d’entre elles ont encore disparu. Après lui, en 1914, l’historien hennuyer Emile Dony y consacra quelques lignes dans son ouvrage traitant des « Maisons montoises portant une date », puis Paul Faider et Henry Delanney en firent mention dans leur ouvrage paru en 1928 à l’occasion du congrès de la Fédération archéologique et historique de Belgique qui tint ses assises en notre ville, mais ils n’en mentionnent que 25.
Après eux, le montois Paul Heupgen, qui s’est beaucoup attaché à l’histoire de notre ville a établi à son tour la localisation d’un grand nombre de maisons désignées par une enseigne. Un autre Montois, André Auquier, peintre de son état, dont le père réalisa au cours du XIXe siècle un certain nombre de peintures sur bois ou sur métal pour en faire des enseignes, sujettes de par leur nature même à d’inévitables dégradations, a conservé les dessins originaux de toutes celles que lui et son père ont réalisées. En outre, il a établi une liste de toutes les enseignes de la seconde moitié du XIXe siècle, liste qui a fait l’objet d’une communication au Cercle Archéologique en avril 1929.
LES ENSEIGNES REMARQUABLES DE MONS 15 & FIN
Albert Dehaene, n’ayant pas souhaité parler des enseignes « plus modernes, dont le caractère purement commercial n’avait plus, comme jadis, un but de désignation, d’état civil assigné à une maison à l’époque où celle-ci n’était pas numérotée », ne fait plus état que de 34 enseignes en pierre, 2 peintes sur bois ou métal, et 2 en métal.
Pour notre part, nous avons relevé une soixantaine de ces anciennes enseignes, en plus de la quinzaine en bois ou en métal conservée dans les musées communaux ; ce qui prouve une réelle prise de conscience de nos jours quant à la préservation de ce petit patrimoine local. Aussi, restons vigilants pour éviter désormais que l’un ou l’autre propriétaire ignorant ou irrespectueux n’en vienne à infliger à sa façade des transformations destructrices ; car si elle n’est pas classée, il est entièrement libre de la mutiler, de la démolir en tout ou en partie, ou, pour ce qui nous occupe, d’enlever ou recouvrir une enseigne datant d’un ou de deux siècles. Puisse ce petit guide contribuer à la sauvegarde de ce patrimoine.
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