Les ouvrages de Philippe Yannart sont disponibles
Philippe Yannart est ingénieur en sciences nautiques et fut officier de marine marchande de 1969 à 1976, avant de réintégrer l’entreprise familiale spécialisée dans le commerce du bois et portée par cinq générations. Ex gérant de société , il a trouvé pourtant le temps pour s’investir dans diverses associations telles que le Cercle archéologique, la Maison de la Mémoire ou les Montois-Cayaux, dont il est maintenant le président, pour écrire en patois, donner des conférences sur sa ville natale, rédiger des notices historiques et écrire divers ouvrages consacrés à Mons et à son passé. Il est l’auteur de plusieurs ouvrages dédiés à la Cité du Doudou : Mons en Images à la Belle Epoque, Mons, moi, je connais, Le Secret du Gouverneur de Mons, Les Enseignes montoises, A Mons avant la Grande Guerre, Mons la septième Porte, l’épée de l’Empereur, Pourquoi la tour de sainte-Waudru… histoire de la collégiale sainte waudru.
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POURQUOI LA TOUR DE STE-WAUDRU… ? Philippe Yannart La première tranche de travaux de rénovation de la collégiale Sainte-Waudru à Mons, bien que délicate, avait été une réussite. Maintenant que les subsides avaient été accordés, la deuxième pouvait commencer. L’expérience acquise pouvait augurer d’un nouveau succès. Mais, en acceptant d’examiner pourquoi un des deux piliers de la chapelle paroissiale, intégrée au majestueux édifice, avait tendance à s’enfoncer, ce jeune architecte ne se doutait pas de ce qu’il allait découvrir. Pour commencer, il avait besoin de connaître la nature du sous-sol et la manière dont avait été construit ce gigantesque édifice. Il apprit son histoire, il découvrit ses secrets, aussi bien au niveau des combles qu’à celui des cryptes noyées, il fut même confronté à ses esprits, mais, comme il ne devait rien laisser au hasard avant de décider une intervention lourde, il lui fallait tout analyser. C’est au cours de ses démarches, qu’il fut amené à rencontrer cette jeune historienne de l’art dont il allait immédiatement tomber éperdument amoureux. Le plus étrange, c’est qu’au fur et à mesure de ses recherches, il allait se rendre compte que chaque fois que des travaux furent entrepris aux environs de l’extrémité ouest de la collégiale, que ce soit lors des diverses tentatives d’édification de la tour, de la construction des grands escaliers successifs, ou le percement d’une nouvelle voirie à proximité, de mystérieuses difficultés sont survenues qui contrarièrent l’avancement des chantiers, jusqu’à le faire abandonner définitivement, en ce qui concerne la tour, justifiant ainsi l’adage populaire : « C’est comme la tour de Sainte-Waudru, on n’en verra jamais le bout ». Son problème d’affaissement y était-il lié ? La solution de l’énigme viendra finalement de sa partenaire qui, après lui avoir conté par le détail la genèse de la ville de Mons et les origines du chapitre noble de Sainte-Waudru, lui avouera sa propre appartenance philosophique peu banale et la cause de toutes ces difficultés. Dans ce roman, Philippe Yannart nous convie, comme à son habitude, à une description d’éléments historiques tout ce qu’il ya de plus authentiques, mêlée à une fiction surprenante mais originale. Prix de vente 22 €
L’épée de l’Empeur par Philippe Yannart Louis Dechembry ne se rendait certainement pas compte qu’en accomplissant cette simple tâche de récolter pour le compte de la Régence montoise les candidatures des anciens soldats de l’Empire pour l’obtention de la médaille de Sainte-Hélène, manifestation de la dernière pensée de Napoléon à ses compagnons de gloire créée par son neveu Napoléon III, il allait se retrouver mêlé à un complot qui l’entraînerait vers une inéxorable destinée. La raison en est que, dès leur première rencontre, il fut fasciné par le récit de la vie mouvementée du personnage avec lequel il avait rendez-vous ce jour-là. Ce dernier n’avait-il pas connu, tout jeune, l’arrivée à Mons des « Sans Culottes », suivi du vote en faveur de la réunion de la ville avec la France révolutionnaire, puis de la sinistre parenthèse de la Terreur, enfin du Consulat et de l’Empire, durant lesquels il eut l’honneur de faire partie des immortelles armées qui ont promené l’étandard français dans toutes les capitales de l’Europe continentale. Simple acteur dans ces luttes gigantesques qui ont marqué le début du XIXe siècle, il se proclamait fièrement être un enfant de la Nation, qui en fit un soldat, n’ayant que son courage pour tout patrimoine, le monde pour famille, ses blessures comme passeport, ayant accepté de n’avoir pour patrie que là où il pouvait se nourrir, et pour tout protecteur, que le bon Dieu. Mais, ayant aussi un père : l’Empereur. Jusqu’à ce jour de juin 1815 où, pour lui comme pour tous ses camarades, le soleil s’est couché définitivement. Alors, abandonnés du Roi et de la Nation, il ne leur resta que leur demi-solde et leur courage pour survivre. Heureusement, les commémorations au sein de « l’Association des Anciens Frères d’Armes de l’Empire », qu’ils avaient créée, leur permettait de trouver un peu de chaleur, un peu de réconfort dans une paix retrouvée. Mais le destin, qui mit entre leurs mains un des des plus beaux trophées qui soit à leurs yeux, une des plus belles reliques de leur gloire passée : une épée personnelle de l’Empereur, en décida autrement, car l’orgueil des hommes et des nations fit de ce symbole le motif d’une longue lutte acharnée pour s’en emparer, lutte qui, finalement, ne trouva son épilogue que de nos jours. En dehors des émeutes qui survinrent durant la Révolution de 1830 et chassèrent les Hollandais de la ville et du pays, Mons la bourgeoise, connut une paix relative pendant près d’un siècle. Jusqu’à l’ignominieuse invasion allemande, et la bataille de Mons, aussitôt suivie d’une occupation aussi humiliante que rigoureuse, qui dura, jour après jour, pendant plus de quatre longues années, avant que la ville ne soit libérée, le dernier jour de la guerre. Mais hélas, pour Louis Dechembry, il était trop tard. Héritier et dépositaire du secret des anciens vétérans de l’Empire, il dut se sacrifier à cette noble cause qu’il avait fini par embrasser en mémoire de ces ces hommes qui avaient donné leur jeunesse, parfois leur vie, souvent leur santé avec pour seule raison : la défense de la Liberté. Tout ce qui est décrit dans ce récit est authentique, sauf l’intrigue et les deux personnages principaux. Prix de vente 30 euros
LE SECRET DU GOUVERNEUR DE MONS Philipe Yannart La ville de Mons a enfin décidé la réouverture des musées du chanoine Puissant et nomme à sa direction un jeune conservateur. Un jour, la stagiaire, qui l’aide à la classification des pièces du musée découvre dans un meuble à secret un parchemin daté de 1691, écrit et signé de la main du gouverneur de la ville de Mons, Nicolas de Vertillac, maréchal des camps et des armées du roi, nommé à ce poste par Louis XIV en personne après la conquête de la ville. Sur ce document, il est fait mention d’une arrestation qui s’est déroulée dans le plus grand secret au couvent des Oratoriens de Mons, sur ordre direct du roi, d’un homme que personne ne pouvait voir et qui fut directement emmené par Saint-Mars, futur gouverneur de la Bastille vers son tragique destin. Sur cette même lettre, une apostille signée de la main du ministre des affaires étrangères, Louvois, enjoignait le Gouverneur de faire disparaître toutes les traces qu’aurait pu laisser derrière lui l’énigmatique personnage. Tout le monde connaît l’histoire de l’homme au masque de fer, mais personne ne sait que son arrestation eut lieu à Mons où cet homme s’était réfugié en compagnie de dirigeants jansénistes poursuivis par la vindicte du « Roy Très Chrétien ». Conséquence dramatique, serait-ce pour punir cette ville que Louis XIV est venu en personne, à la tête d’une armée de 80.000 hommes et avec toute sa cour, diriger le terrible siège qui fit tant de morts et détruisit une bonne partie de la cité ? Dans quelles circonstances nous sont parvenues les preuves irréfutables d’une tromperie sans pareille, manigancée par le cardinal de Richelieu pour assurer la continuité de la dynastie des Bourbons ? Qui a rédigé ces mystérieux rébus en latin qui mèneront nos jeunes historiens de l’art à la recherche de la vérité dans la ville et ses environs ? Amour, intelligence, trahison, danger, violence, seront le lot de cette enquête passionnante organisée par un érudit génial, disparu depuis longtemps, à qui la ville doit beaucoup. Prix de vente 20 euros
Publications | LES MONTOIS CAYAUX
Vous pourrez rencontrer Philippe Yannart ,et acheter éventuellement ses livres au Salon des auteurs 1er et 2 juillet 2023
Salon des auteurs belges 1er et 2 juillet 2023 aux Anciens Abattoirs Mons | Mons Blog