Fort de ses premières éditions, le P’tit Marché de Noël des créateur·rices revient ce mercredi 17 décembre à la P’tite Maison Folie !
Créateur·rices, entrepreneur·ses, artisan·es passionné·es, acteur·rices solidaires, venez présenter vos projets, vos services, vendre vos créations et artisanat pour un Noël plus durable et responsable !
Au programme : une vingtaine de stands, petite restauration, bar, animation musicale… et tombola de Noël !
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Quand ? Le mercredi 17.12 de 14h à 20h (pour les stands). La P’tite Maison Folie restera ouverte jusque 23h pour que vous puissiez profiter du bar et du dance floor.
Où ? A la P’tite Maison Folie, 46 rue de Nimy, 7000 Mons
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Pour vous inscrire, rien de plus simple : compléter le formulaire ci-dessous : https://forms.gle/1iBTxJScKFzM7Jfb6 Places limitées. Clôture des inscriptions le 17 novembre. La sélection sera effectuée par un jury formé au sein du comité des fêtes selon plusieurs critères dont l’éco-responsabilité et l’artisanat.
Il y aura bientôt 200 ans ans que la première photographie a été réalisée par Niépce ! L’Atelier des capucins et Les Editions du CEP marquent cet évènement avec l’exposition personnelle du photographe Michel Lefrancq (et d’autres évènements à venir). Vernissage, ce vendredi 28 novembre de 18 à 21 h, 15, rue Masquelier, Mons. Bienvenue à chacune et chacun !
EXPO David Hockney. Le Chant de la Terre Avec Vincent van Gogh, Edvard Munch, Gustav Mahler, …
04.10.2025 > 25.01.2026
Du 4 octobre 2025 au 25 janvier 2026, le CAP présente l’exposition David Hockney. Le Chant de la Terre, un parcours polyphonique associant peinture, musique et poésie avec la symphonie de Gustav Mahler comme fil conducteur.
Sous le commissariat d’Isabelle Cahn, conservatrice générale honoraire du musée d’Orsay, l’exposition réunit un ensemble exceptionnel de peintures de l’artiste britannique David Hockney, dont certaines de format monumental, ainsi que des compositions réalisées sur iPad. Autour de cette figure centrale, l’exposition met en regard des œuvres de Vincent van Gogh, Edvard Munch, Constantin Meunier, et une sélection de peintres symbolistes nordiques du tournant du XXe siècle, dont le Finlandais Albert Edelfelt et l’Estonien Konrad Mägi.
Déployée en six sections et trois espaces immersifs, dont la scénographie a été pensée par Sylvain Roca, l’exposition explore la relation profonde entre l’homme et la nature : la terre nourricière, les champs, les saisons, les fleurs, la solitude, la poésie. Chaque salle fait dialoguer peinture, musique et texte, en résonance avec Le Chant de la Terre de Mahler. Composée en 1907-1908, cette œuvre rend hommage à la nature, à sa beauté fragile et à sa force vitale. Elle agit ici comme un fil conducteur : un souffle commun qui traverse les œuvres, relie les artistes et accompagne le visiteur dans une expérience à la fois visuelle et sonore.
Avec le soutien du Fonds européen de développement régional (FEDER) et de la Wallonie.
« Les bêcheurs », dessin de Vincent Van Gogh, Musée des Beaux-Arts de Mons
Ce joyau historique de 1531, orné des armoiries de Charles Quint, participe au Challenge Patrimoine 2025. Votre vote peut changer les choses : il permettra de financer sa restauration et de lui redonner toute sa splendeur ✨
Dans la Ville de Mons, un mystérieux pavillon de jardin de style Renaissance datant de 1531 n’attend plus que d’être redécouvert. Ce splendide édifice s’est effondré en 1955, à la suite d’un glissement de terrain. Depuis lors, les éléments en pierre restants sont conservés dans un local aujourd’hui désaffecté et devenu vétuste, lui-même en mauvais état. Le Challenge Patrimoine offre aujourd’hui à ce trésor enfui l’occasion de sortir enfin de l’ombre et de retrouver sa place dans le paysage culturel de la Ville.
Bien qu’à l’abri des regards depuis des dizaines d’années, le pavillon ne cesse de vivre dans le cœur des Montois. Les nombreux reportages dans la presse locale, le vif intérêt du Cercle archéologique de Mons et les échanges nourris sur les réseaux sociaux sont autant de témoignages d’un profond attachement et d’un engagement durable.
La reconstruction du pavillon permettrait non seulement de rendre ses lettres de noblesse à ce joyau enfui mais aussi de renforcer l’identité culturelle de la Ville. Véritable opportunité en matière de développement de l’éducation, du tourisme, de la diffusion en ligne des connaissances et de la recherche scientifique, la restauration et la réintégration de l’édifice dans un musée ou dans un espace urbain accessible au public constitueraient une vraie plus-value culturelle pour la Ville. En effet, le pavillon est un témoignage civil rare de la Renaissance à Mons. Sa revalorisation permettrait de combler une lacune architecturale et de créer un nouveau symbole patrimonial.
Architecture civile, monument fragile
Datant du début du XVIe siècle, le pavillon montois est le seul exemple connu d’architecture civile Renaissance de la Ville. Il se distingue par sa forme unique de portique ajouré ‒ une typologie qui a pratiquement disparu de nos régions. Il se trouvait probablement à l’angle de deux bâtiments. Réalisé en calcaire et coiffé d’un plafond en chêne sculpté, le monument est richement décoré de gravures et de bas-reliefs. Flanqué de la date « 1531 », il porte les armoiries impériales de Charles Quint ‒ une mention rare sur un bâtiment privé, ce qui soulève de nombreuses questions sur le statut du commanditaire.
En quête de renaissance
Le pavillon avait déjà été reconstruit en 1862 dans la rue de la Clef 31. Or, les circonstances de cette reconstruction et le lieu de conservation antérieur des fragments restent flous. En avril 1955, l’édifice, situé alors rue de la Terre du Prince 17 (depuis 1892), s’est effondré à la suite d’un glissement de terrain, se trouvant de nouveau réduit en morceaux. Ceux-ci sont actuellement conservés dans un local aujourd’hui désaffecté et devenu vétuste. La fragilité des fragments et le mauvais état de leur lieu de conservation représentent une double menace pour ce monument exceptionnel, qui risque d’être irrémédiablement perdu.
Un projet de conservation s’impose d’urgence. La première phase du projet consiste en un inventaire détaillé, comprenant notamment l’identification et l’étiquetage de chaque élément. En outre, il faut également envisager le moyen de transporter les fragments en toute sécurité vers un lieu de conservation offrant des conditions de conservation adaptées au calcaire et au bois. Cette phase préparatoire est essentielle pour préserver les éléments originaux et jeter les bases d’une reconstruction fidèle ultérieure dans un espace public ou un contexte muséal.
Parmi les nombreux détails sculptés du Pavillon Renaissance, certains attirent particulièrement l’œil. En regardant de plus près, on y découvre une scène pour le moins… suggestive Visiblement, même les sculptures montoises ont une vie amoureuse active
📣 𝐄𝐭 𝐬𝐢 𝐨𝐧 𝐥𝐮𝐢 𝐨𝐟𝐟𝐫𝐚𝐢𝐭 𝐮𝐧𝐞 𝐧𝐨𝐮𝐯𝐞𝐥𝐥𝐞 𝐯𝐢𝐞 ? Le Pavillon Renaissance est en lice pour le Challenge Patrimoine 2025 de l’IRPA. Vous voulez découvrir tous les secrets sculptés de ce joyau architectural ? (Et éviter à nos « sex-symbols » de finir en ruine )
✅ Les votes sont ouverts jusqu’au 1er février : chaque voix compte pour permettre à ce témoin unique de l’histoire montoise de renaître et d’être à nouveau visible du public.
J'ai créé ce blog en 2014 après m'être rendu compte que les évènements montois n'étaient pas assez mis en évidence dans les divers médias. Le succès a été immédiat et j'y annonce les diverses manifestations culturelles à Mons les spectacles, concerts, fêtes et expositions diverses et ce gratuitement.
Je suis aussi très actif sur les réseaux sociaux avec les pages Doudou Mons et Mons Info. Enfin je suis co-organisateur de plusieurs évènements à Mons comme le Beatles Day, le festival de la chanson française et fête de ma musique.
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