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Soirée de réveillon le 31 décembre 2025 sur la Grand-Place de Mons de 22 à 2h

Soirée de réveillon le 31 décembre 2025 sur la Grand-Place de Mons de 22 à 2h

6 ème édition de la soirée de Réveillon « Nouvel An » à Mons

Le mercredi 31 décembre 2025, préparez-vous à vivre une expérience unique au cœur de Mons Cœur en Neige sur la Grand Place.

Cette année encore, Mons vous réserve une soirée haute en couleurs ! Le mercredi 31 décembre 2025, le cœur de la ville vibrera au rythme d’une fête exceptionnelle au sein de Mons Cœur en Neige. Pour l’occasion, la Grand-Place se métamorphosera en un dance floor XXL.

Dès 22h00 et jusqu’à 02h00, Charlie DJ mixera les plus grands hits d’hier et d’aujourd’hui, vous invitant à célébrer 2026 dans la bonne humeur et dans une atmosphère chaleureuse et conviviale.

Le point culminant de la soirée ? Le traditionnel feu d’artifice tiré à minuit, qui viendra illuminer le ciel montois et marquer l’entrée symbolique dans cette nouvelle année 2026.
Les chalets et commerces Horeca seront ouverts spécialement pour l’occasion.

Pour garantir la sécurité et la préparation de l’événement, l’accès à Mons Cœur en Neige sera temporairement fermé au public de 16h00 à 22h00. La Grand-Place restera toutefois accessible à pied via les axes principaux. Les parkings du centre-ville seront également accessibles.

Pour les personnes à mobilité réduite : des places supplémentaires seront aménagées rue des Échelles, en complément des emplacements habituels (excepté rue de Nimy, à hauteur du tribunal).

Ne manquez pas cette soirée magique !

https://facebook.com/events/s/soiree-reveillon-du-nouvel-an/1938831423717248

Expo « Ni vu Ni connu » Roger Job aux Ateliers Uclouvain en Hainaut( FUCam) du 22 novembre 2025 au 18 janvier 2026

Expo « Ni vu Ni connu » Roger Job aux Ateliers Uclouvain en Hainaut( FUCam) du 22 novembre 2025 au 18 janvier 2026

Vernissage de l’exposition – Ni vu Ni connu de Roger Job
Vendredi 21 novembre 2025 à partir de 18h30
L’université est souvent associée à ses auditoires, ses chercheur·es, ses publications.
Pourtant, derrière chaque cours donné, chaque découverte publiée, chaque service offert, se trouve un univers souvent discret mais néanmoins fondamental : celui des femmes et des hommes qui, parfois dans l’ombre, œuvrent chaque jour au bon fonctionnement de l’institution. 
Avec sensibilité et profondeur, le photoreporter Roger Job nous invite ici à poser un autre regard.
À détourner notre attention des figures habituelles de l’université pour la porter sur celles et ceux dont le travail, parfois moins visible, n’en est pas moins indispensable. 
Exposition ouverte du 22 novembre 2025 au 18 janvier 2026
Fermé du 24/12/25 au 04/01/26Ouvert du lundi au vendredi de 9h à 18h, les samedis et dimanches de 14 à 18 h
Adresse :Ateliers de l’UCLouvain en Hainaut, 2 rue des Soeurs Noires, 7000 Mons (entrée par le parking, rue Grand Trou Oudart)
 Infos : cellule-culture-mons@uclouvain.be ou 065/40.69.10
Expo « Vibrations neuropoétiques » Co-GuestHouse à Mons du 28 novembre 2025 au 12 février 2026

Expo « Vibrations neuropoétiques » Co-GuestHouse à Mons du 28 novembre 2025 au 12 février 2026

(6) Facebook

Chez Co-GuestHouse, nous aimons donner leur chance aux artistes émergents dont la sensibilité et la démarche interrogent, bousculent et éveillent. En ce mois de novembre, nous accueillons l’Etterbeekoise Eleni Arvanatis, une photographe de 32 ans à la fois instinctive et profondément réfléchie, qui explore l’esthétique des émotions à travers une série d’autoportraits saisissants.

Une âme en quête d’expériences

A la question «Qui es-tu ?» Eleni répond simplement : «Je suis une âme qui expérimente la vie». Et cela dit tout sur sa personnalité singulière, à la croisée des chemins entre vulnérabilité et audace.

D’origine grecque par son père et belge par sa mère, elle revendique fièrement ses racines multiples. Très tôt, elle s’est orientée vers les arts – musique, dessin, création visuelle – et c’est à l’Ecole Saint-Luc à Tournai qu’elle affine sa sensibilité artistique.
Ironie du sort : elle y entre pour suivre une amie… qui ne viendra jamais.

Mais ce détour deviendra un tremplin. En dessinant, Eleni comprend qu’elle est fascinée par le réalisme, par la précision du trait — jusqu’à trouver dans la photographie « le dessin le plus juste, le plus vrai ».

De la différence à la lumière

Un problème de vue à la naissance aurait pu la détourner de ce chemin.

On lui a souvent dit qu’elle n’y arriverait pas. Mais Eleni a choisi d’écouter son intuition plutôt que les voix du doute. «Je n’ai jamais voulu croire au destin qu’on m’assignait.»
Et cette force tranquille, elle la transmet aujourd’hui à travers ses images : un regard qui révèle la beauté de ceux qui doutent d’eux-mêmes.

Photographier pour révéler

Dans son métier, Eleni travaille essentiellement avec des entreprises, des indépendants et des personnes en transition. « Celles et ceux qui portent un projet, une idée, mais manquent encore de confiance pour la faire éclore. Mon appareil photo est mon meilleur outil pour leur rappeler à quel point ils sont beaux, capables, vivants.»
Elle y associe également une activité de community management, convaincue que les réseaux sociaux peuvent devenir un espace d’expression authentique, « capable d’offrir des opportunités insoupçonnées si l’on ose s’y dévoiler ».

Une anecdote en témoigne : c’est grâce à sa communauté en ligne qu’elle a été invitée à couvrir un événement familial important d’une personnalité publique locale (elle habite près de Silly), un moment fort et rempli d’amour qu’elle n’aurait jamais imaginé vivre autrement.

«Aloha» : le mot qui ouvre le cœur

Si vous suivez Eleni sur les réseaux, vous remarquerez que tous ses posts commencent par « Aloha ». Un mot d’Hawaï qu’elle n’a jamais visité, mais dont elle partage la philosophie : «Je t’accepte tel que tu es, dans ton entièreté.»
Tout est dit : chez Eleni, le regard photographique est avant tout un regard d’acceptation.

«Vibrations Neuropoétiques» : là où la science rencontre l’âme

Avec cette exposition, Eleni ose un pont audacieux entre neurosciences et poésie de l’âme.
Ses autoportraits explorent les émotions comme des territoires intérieurs.

Chaque cliché devient une vibration, un écho à ce que nous portons de plus intime.

«Potentiellement, c’est le début de votre propre voyage intérieur.» dit’elle.
«Cela peut déstabiliser ou au contraire résonner profondément.»

Sa démarche artistique est claire : élargir sans cesse sa zone de confort, se libérer des barrières mentales et inspirer chacun à prendre soin de soi, à guérir ses blessures, pour enfin aller vers une vie qui fait vibrer.

Et pour le faire elle vous invite à regarder, mais également à écouter, tout en respirant profondément «impire, expire, impire, expire»…

En effet, cette exposition pourra se vivre en véritable «expir…ience» de renaissance…si on le veut bien.

Pourquoi exposer à Mons et plus précisément chez Co-GuestHouse?

Pour sa toute première exposition, Eleni a choisi Mons, et plus précisément la Co-Gallery de notre Maison partagée.
«J’ai choisi de faire mon expo chez Françoise que j’ai rencontrée au Cercle Les Dames de la Réunion en décembre dernier. Si elle avait été à Tournai, ça aurait été à Tournai.» Ce qui l’a touchée ? Son ouverture d’esprit et sa bienveillance. Françoise, travaillant alors auprès de personnes aveugles et malvoyantes, a su accueillir Eleni sans jugement, avec la curiosité et la confiance nécessaires pour lui offrir cet espace d’expression.

Et à la question sur ce qu’elle espère susciter auprès des visiteurs, Eleni répond simplement: «l’espoir»

Au cœur de ses photos, il y a un fil invisible : l’espoir.
Celui de croire en soi malgré les doutes.
Celui de renaître à la lumière après les ombres.
Celui, enfin, de comprendre que chaque regard posé sur soi peut devenir une guérison.

Soyez les bienvenus dans notre maison partagée pour découvrir (avec vos écouteurs) cette exposition qui sera jointe à une bande sonore:

  • Le jeudi 27 novembre de 18h00 à 19h00, lors du Vernissage exclusif organisé en primeur pour les Dames de la Réunion. Il sera suivi d’une séance spéciale de présentation des membres. Les non membres sont acceptées sur invitation.
  • Le vendredi 28 novembre de 18h00 à 21h30 à l’occasion du Vernissage officiel ouvert à toutes et tous.
  • Jusqu’au 12 février 2026, durant tous les évènements (réunions, formations, ateliers) organisés chez Co-GuestHouse.

Contact

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Co-Guest House Du 28/11/25 au 12/02/26, découvrez l’EXPO « Vibrations Neuro-poétiques » – Co-Guest House % %

Expo « Arrêt sur image ,Michel Lefrancq »Atelier des Capucins du 28 novembre au 21 décembre 2025

Expo « Arrêt sur image ,Michel Lefrancq »Atelier des Capucins du 28 novembre au 21 décembre 2025

Il y aura bientôt 200 ans ans que la première photographie a été réalisée par Niépce ! L’Atelier des capucins et Les Editions du CEP marquent cet évènement avec l’exposition personnelle du photographe Michel Lefrancq (et d’autres évènements à venir). Vernissage, ce vendredi 28 novembre de 18 à 21 h, 15, rue Masquelier, Mons. Bienvenue à chacune et chacun !

https://www.facebook.com/share/p/1C59Xpo1Ba/?mibextid=wwXIfr

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EXPO « BORDS PERDUS » Marie Bonnin à la Maison Losseau du 6 novembre 2025 au 1er mars 2026

EXPO « BORDS PERDUS » Marie Bonnin à la Maison Losseau du 6 novembre 2025 au 1er mars 2026

07.11.2025 > 01.03.2026

Vernissage : 06.11.2025 à 18h30

MAISON LOSSEAU
Rue de Nimy, 37/39 – 7000 Mons
Ouverture : du mercredi au vendredi de 10h à 18h,
le samedi de 13h à 18h, le dimanche de 10h à 17h

www.maisonlosseau.be

Du 7 novembre 2025 au 1er mars 2026, la Maison Losseau accueille BORDS PERDUS, une exposition de l’artiste plasticienne Marie Bonnin,fruit d’une résidence de recherche menée à Mons autour des archives de Léon Losseau, et plus particulièrement celles liées à son jardin. Ce projet s’inscrit dans le cadre de l’initiative européenne « L’Art Nouveau comme nouvelle EUtopia » portée par le Réseau Art nouveau Network (RANN).



Le travail de Marie Bonnin s’articule autour de l’image imprimée et de sa contemplation de la nature. La littérature y occupe une place importante, doublée d’une attirance pour le livre et l’objet imprimé. Elle a résidé à deux reprises à la Maison Losseau et a exploré de nombreuses archives de Léon Losseau particulièrement la correspondance concernant la mise en place de son jardin. Pour celui-ci, Losseau s’est inspiré des jardins pittoresques de Jules Buyssens, figure importante de l’art des jardins en Belgique. Marie Bonnin a également été frappée par l’archivage systématique de ses différentes collections (médailles, livres, photographies, objets intimes, etc.)



L’exposition BORDS PERDUS convoque un jardin fantasmé. Les bords perdus des impressions deviennent un espace à explorer, un lieu à se réapproprier, une zone de liberté pour inventer un autre état de nature. Marie Bonnin traduit le rapport au foisonnement qu’elle a ressenti dans la maison tant au niveau des ornements, des anecdotes et des archives. Dans une approche intuitive, elle collecte des motifs, des mots qu’elle manipule ensuite pour leur conférer de nouvelles significations. Ses impressions sont mises dans l’espace dans un rapport sculptural au sein duquel le flou et la transparence dominent pour susciter l’imaginaire et la rêverie et ainsi redonner vie au passé. L’artiste propose également une intervention dans le bureau de la partie classée en s’immisçant dans les meubles à archives de Léon Losseau. Dans cette même pièce, le film L’acte d’habiter d’Alexandre Humbert qui retrace le parcours des différent.e.s résident.e.s du projet européen L’art Nouveau comme nouvelle EUtopia sera diffusé pendant toute la durée de l’exposition.


RANN / L’art Nouveau comme nouvelle EUtopia
Le Réseau Art nouveau Network (RANN) vise à protéger et à promouvoir le patrimoine Art nouveau. Il a ainsi mis en place le projet européen L’art Nouveau comme nouvelle EUtopia pour lequel des artistes contemporains de toutes disciplines (plasticiens, écrivains, musiciens, chorégraphes…) ont été invités à réinterroger l’Art nouveau et ses résonnances dans les pratiques contemporaines. Entre 2024 et 2025, six lieux en Europe partenaires du RANN ont ainsi mis sur pied des résidences d’artistes : le Musée de la ville d’Aveiro (Portugal), le Musée Horta (Bruxelles), urban.brussels et la Maison Losseau (Mons) en Belgique, le Musée de l’École de Nancy (France) et Oradea Heritage en Roumanie. Ces résidences s’inscrivent dans des lieux Art nouveau emblématiques, souvent des maisons-musées porteuses d’une intimité, et sont parfois de véritables portraits de leurs commanditaires.