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Jacques Hamaide: une vie

Jacques Hamaide: une vie

Né le 6 juillet 1926 et décédé le 9 août 2025

Les funérailles de Jacques Hamaide, se dérouleront ce jeudi 14 août 2025 à la collégiale.

C’est ce jeudi 14 août à 13h que les funérailles de Jacques Hamaide seront célébrées à la collégiale Sainte-Waudru.

Le défunt repose au funérarium Borgno, chemin de l’Oasis 23 à Mons.

Visites les mardi 12 août et mercredi 13 août de 17 heures à 19 heures.

En rendant hommage à son père, Caroline Hamaide indiquait l’autre jour qu’il travaillait avec elle sur un livre sur Mons : « Il rédigeait des anecdotes, des petits feuillets sur des histoires familiales, mais aussi, surtout, sur la ville de Mons. C’étaient des histoires sur Mons, des souvenirs des ruelles d’autrefois, des figures montoises, des réflexions sur la mobilité d’avant et d’aujourd’hui. Ce n’est pas un livre d’histoire, mais d’histoires au pluriel. » Le livre est presque terminé, sa fille espère le publier à la rentrée…

La rue du Parc, au carrefour de plusieurs mondes…

Et des souvenirs, il en avait… Né le 6 juillet 1926 au bas de la rue du Parc, il a donc bien connu ce quartier avant-guerre. Dans « El Crasmonciau », le trimestriel du quartier du Parc, il racontait en 1994 ses souvenirs. En voici quelques extraits.

« J’ai vécu ma première enfance dans un vieil immeuble 18ème, aux façades couvertes de crépi gris, si caractéristique dans le Mons d’alors. C’était la dernière maison en bas de la rue du Parc. Au carrefour de plusieurs mondes. D’un côté, le Crasmonciau, surplombé par le Mont du Parc, lieu de bien des misères, avec ses caches et ce qu’on appelait la caserne des femmes : cris de jour et drames de nuit. Et de l’autre côté, le bas de la rue, plein d’activités, de commerces, d’ateliers : pompe manuelle à essence, marchand de TSF, boucheries, boulangeries, épiceries, entrepreneurs-couvreurs, teinturier, cordonnier, poissonnier, libraire, coiffeur, vitrier, etc. Pratiquement, tous les corps de métier s’y côtoyaient ».

« Et tout dans le bas, au coin de la grande voirie, au pied de l’Institut Warocqué, là où je suis né, une imprimerie, celle du journal dont mon père était directeur, et d’où partaient ou arrivaient vendeurs, annonceurs, fournisseurs, courriers, dépêches et correspondants, où étaient débarqués bidons d’encre, puissants rouleaux de papier, tonnes de charbon… Une fièvre continuelle y régnait, qui ne s’arrêtait que tard dans la nuit, jusque très tôt le matin, ainsi que le dimanche ».

Au bas de la rue du Parc, les locaux du journal « Le Progrès » et la maison de la famille Hamaide (photo Marcel Lefrancq). Ce bâtiment a été démoli dans les années 1950.

Une vie de quartier

« Au carrefour de l’avenue des Canadiens et de la rue du Parc, la grande voirie drainait tous les charrois tirés par des chevaux. Les mouvements des régiments de cavalerie et d’artillerie, de la gare aux casernes, empruntaient cette grande voirie, bordée d’arbres ornementaux (acacias et tilleuls taillés).

(…)

Fixés à l’angle des maisons de coin, comme des phares à la proue des bateaux, des réverbères au gaz assuraient l’éclairage des nuits et des longs jours d’hiver. Dans leur lumière, je regardais les longues lignes de la pluie ou les flocons de la neige…

(…)

L’été, les gens d’en face vivaient sur le seuil de leur porte. Parfois, aussi, c’était la ducasse du quartier, avec ses métiers forains et les airs mécaniques des manèges de chevaux de bois ».

Le personnel du « Progrès » en 1919. Au centre,barbu, Joseph Hamaide (photo Daniel Knops).

Un enfant timide

Dixième et dernier d’une fratrie de dix enfants, Jacques nous a un jour confié que son tout premier souvenir d’enfance, c’est l’inauguration de la fontaine des combattants de 1830, installée en 1930 à la place Regnier au Long Col (et qui se trouve aujourd’hui au centre du square Saint-Germain).

Le jeune garçon fait ses primaires chez les Frères des Ecoles Chrétiennes, à l’époque à la rue Notre-Dame Débonnaire, à l’angle de la rue du Gaillardmont. Six ans plus tard, il « redescend » la rue des Telliers (où il aura plus tard son étude notariale) pour s’en aller au collège Saint-Stanislas, chez les jésuites, rue Ferrer (aujourd’hui rue des Dominicains), tout près de la maison familiale. Au collège, été comme hiver, il doit assister à la messe de 7 heures du matin.

« Souvent, l’automne, les vents charriaient les feuilles mortes en tourbillonnantes compagnies, vers le haut de la ville et, petit, je disais que les feuilles allaient à l’école, école qui a longtemps effrayé mon extrême timidité d’alors ».

Jacques Hamaide, timide : l’auriez-vous cru ? Quand on voit sa carrière : avocat durant 35 ans, notaire durant 11 ans, homme politique durant 42 ans… Il est vrai que notre homme a toujours eu un débit saccadé, mais c’est aussi sans doute parce que ses idées se sont toujours bousculées dans sa tête…

Dans une interview publiée en 2022 dans la revue « Contacts » des Anciens de Saint-Stanislas, Jacques s’était confié sur ses difficultés d’élocution, surtout en public, apparues très tôt chez lui. Les jésuites lui proposèrent bien d’essayer de corriger ces difficultés…mais il refusa, ce qu’il a longtemps regretté…

Dans cette même interview, il déclarait : « Le fil rouge de ma vie, ce sont les jésuites qui m’ont appris à penser librement. » Mais il ajoute : « J’ai eu plusieurs fils rouges dans ma vie : mes parents (éducation chrétienne et spirituelle), ma famille (une sœur et un frère religieux, et puis l’attachement viscéral à ma ville. »

28 mai 1922, le cortège arrive en haut de la rue du Parc. Il se dirige vers la place du Parc pour l’inauguration du monument aux morts (photo UMons).

La guerre

La Seconde Guerre mondiale a marqué le jeune homme, qui avait dix-huit ans à la Libération.

Dans un premier article, nous avons évoqué l’enfance et la jeunesse de Jacques Hamaide, né le 6 juillet 1926 dans la maison familiale du bas de la rue du Parc, qui était aussi le siège du journal « Le Progrès », dont son père était directeur.

En 1944 Jacques est en rhétorique à Saint-Stanislas. En avril, après Pâques, les alertes continuelles puis les bombardements alliés font que les jésuites veulent mettre leurs élèves à l’abri.

Les cours sont alors donnés à Hyon, au château Goffinet. Mais le château est réquisitionné par les Allemands et les élèves migrent alors vers la maison de la famille Fourneaux et ensuite, pour les examens, au Coloma, près de la place.

Leur professeur, le Père Antoine Borboux, est souvent absent pendant les heures de cours… Les élèves sauront plus tard qu’en fait il est fort impliqué dans l’armée secrète, aumônier d’un groupe de résistance.

A l’étage d’une boucherie…

Dans son interview parue dans le bulletin « Contacts » des Anciens de Saint-Sanislas, Jacques Hamaide explique que le groupe recrutait des guetteurs parmi les élèves. Leur mission : depuis le premier étage de la boucherie Denil à Ciply, observer et noter tous les mouvements suspects du trafic militaire sur la route de Paris.

Pour les 75 ans de la Libération, il avait évoqué cette période dans les colonnes du journal « La Province » : « Fenêtres bien ouvertes, nous repérions les sigles, les couleurs, les numéros sur les véhicules militaires correspondant à des régiments ou des unités. Nous remettions nos relevés au Père Borboux. L’ensemble collecté, transmis à des services d’interprétation, permettait aux Alliés de mieux déterminer l’importance, les mouvements et la position des forces. (…) Notre façon de travailler n’était pas sans danger. L’attention de quelqu’un de mal intentionné ou la simple observation d’un soldat allemand de passage aurait pu facilement faire soupçonner un comportement étrange. »

Volontaire de guerre

En septembre, une fois le pays libéré, Jacques Hamaide a le désir de s’engager comme volontaire. Inscrit à la faculté de droit de l’Université de Louvain, il s’engage avec un de ses frères. D’abord affecté à un bataillon de fusiliers pour une instruction d’un mois, il passe ensuite six mois dans un bataillon inscrit selon l’organisation britannique. On le retrouve alors à Audenaerde, en Irlande, en Angleterre, en Allemagne…

Quand la guerre prend fin, il retourne sur les bancs de l’Université, avec un programme adapté à son « retard » pour fait d’engagement.

Nanti de son diplôme de docteur en droit, il s’inscrit comme avocat au barreau de Mons où il plaidera durant 35 ans. Mais l’ancien volontaire reste passionné par l’armée : il effectuera cinquante rappels militaires.

Très attentif à maintenir vivace le souvenir des deux guerres mondiales, il aurait certainement participé dans deux semaines aux cérémonies commémoratives annuelles…

Cette photo de la rhétorique 1944 a été prise en juillet 1944 à Wasmes, chez les parents de Roger Dargent, un élève de la classe. Jacques Hamaide est assis au 2ème rang, deuxième à partir de la droite, à côté du condisciple qui fume la pipe…



1976: chef de file pour les élections du Grand Mons avec dix-neuf communes.

Une carrière politique exceptionnelle dominée par un amour immodéré pour sa ville, mais aussi une vie de famille…

Dans nos deux précédents articles, nous avons évoqué l’enfance et la jeunesse de Jacques Hamaide, puis le tournant de la guerre et plus particulièrement la Libération en 1944.

Revenu à la vie civile, Jacques Hamaide est donc avocat au barreau de Mons. En 1959, il épouse Michèle Gauche, fille du notaire Charles Gauche. Il succèdera à son beau-père dans l’étude de la rue des Telliers où il exercera durant onze ans avant de transmettre les rênes à son fils Antoine.

Antoine est le cadet de la famille, il est né en 1963, deux ans après sa sœur Caroline. Ses deux enfants leur donneront cinq petits-enfants.

« Deux tempéraments hors du commun »

En rendant hommage au défunt, le bourgmestre Nicolas Martin écrit à propos de Madame Hamaide : « Avec son épouse Michèle, il formait un tandem unique en son genre. Digne d’un couple de cinéma des années 60, décapotable et cheveux au vent. Le mariage de deux tempéraments hors du commun. »

Cette union durera plus de soixante ans. Michèle Gauche meurt le 2 mars 2021, en pleine crise du Covid. Les funérailles devront donc se dérouler dans l’intimité…

Dans son interview parue dans le bulletin des Anciens de Saint-Stanislas, Jacques disait : « Après 61 ans de joies et de turbulences, mon épouse, un être littéraire et romantique, qui m’a tant épaulé durant sa vie, est morte d’épuisement. »

42 ans au conseil communal

Mais revenons aux années 1960 : Antoine et Caroline sont encore des bambins quand le virus de la politique gagne leur père. Il faut dire qu’il aime tant sa ville… Citons ici encore Caroline :« Ma maman disait qu’il était amoureux de sa ville, et c’était vrai. Il était passionné, le premier à défendre Mons. Il nourrissait mille espoirs pour l’embellir et veiller à ses intérêts. »

Au lendemain des élections de 1964, Jacques Hamaide entre au conseil communal de Mons. Il y siégera durant 42 ans, sur les bancs du PSC, devenu CDH. Un record : pour ce qui est de l’après-guerre : il est à égalité avec Elio Di Rupo, mandataire de 1982 à 2024.

Il fait ses armes comme conseiller au sein de la majorité « rouge-romaine » formée par les Socialistes et les Sociaux-Chrétiens.

En 1970, pas d’élections car on prépare une fusion des communes, le « premier Grand Mons » avec six communes. Le scrutin se déroule en juin 1971 mais il est annulé et on revote en octobre. Les deux vainqueurs sont le PSB (ancêtre du PS) et l’UDP (Union Démocratique et Progressiste) formée par René Noël, bourgmestre communiste de Cuesmes.

Dès 1971, il affiche ses ambitions pour sa ville…
A la Procession de 1971: des affiches place du Chapitre, impensables aujourd’hui…

Echevin en 1972

Désireux d’élargir sa base, Léo Collard, alors bourgmestre, propose au PSC de rejoindre la majorité. Jacques Hamaide n’est pas très chaud mais il finit par accepter. Il entre donc au collège aux côtés de son colistiers Fernand Ducobu et obtient le portefeuille de l’expansion économique.

Et c’est parti pour une longue carrière d’échevin, avec d’abord trois mandats consécutifs où il a en charge, selon les mandatures, l’économie, le tourisme, les fêtes, la culture… C’est à ce dernier titre qu’il fait confiance à Georges Raepers pour réorganiser le Lumeçon qui part à vau-l’eau…

Il sera aussi Premier Echevin, toujours dans la coalition PS-PSC dirigée depuis 1974 par le bourgmestre Abel Dubois.

Les deux hommes s’entendent bien mais en 1988 le mayeur prend sa retraite. Aux élections d’octobre 1988, c’est Maurice Lafosse qui mène la liste socialiste. A l’époque, sa première place lui assure le poste de bourgmestre. Mais Elio Di Rupo, l’étoile montante, le bat nettement aux voix de préférence et revendique le mayorat… Il doit toutefois renoncer après une bagarre homérique et Maurice Lafosse devient bel et bien bourgmestre.

Lafosse n’est pas Dubois…

Mais le PS a décroché, pour la première fois de son histoire, la majorité absolue avec 25 sièges sur 45. C’est décidé, il gouvernera seul. Pour la première fois depuis 24 ans, Jacques Hamaide se retrouve sur les bancs de l’opposition…

Mais six ans plus tard, en 1994, la roue tourne et le PS doit de nouveau se trouver un allié. Les négociations avec le PSC débouchent sur la renaissance de l’alliance « traditionnelle ». Jacques Hamaide revient donc au pouvoir avec le poste de Premier Echevin.

Mais Lafosse n’est pas Dubois : le tandem sera moins serein. Annonçant l’accord entre les deux partis, le bourgmestre avait reconnu : « Je vais devoir apprendre à dire ‘nous’ »…

1975: remise des diplômes de guides par l’office du tourisme. Maurice Lafosse est tout à droite, près de Jacques Hamaide. Abel Dubois est du côté gauche.
1987: le collège des bourgmestre et échevins (debout) reçoit les « voleurs de dragon » de 1957 (à genaux), venus demander pardon pour leur forfait de 1957, trente ans plus tôt…

Il n’a cessé de penser à Mons

Arrivent les élections de l’an 2000. A 74 ans, Jacques Hamaide est toujours chef de file mais son parti s’écrase. Le PS d’Elio Di Rupo s’allie aux Libéraux de Richard Miller et c’est le retour dans l’opposition. C’est aussi la dernière mandature de Jacques Hamaide, qui quitte le conseil communal au lendemain des élections de 2006.

Mais notre homme ne s’enferme pas pour autant dans sa tour d’ivoire. L’actuel bourgmestre Nicolas Martin l’a dit dans son hommage : « Il était venu me voir dès mon élection comme Bourgmestre, et à plusieurs reprises par après. Nous aimions échanger ensemble sur notre village commun (Hyon) et sur la stratégie de développement de la Ville et sa dynamisation, une priorité que nous partagions. Il était heureux de voir Mons aller de l’avant, malgré les difficultés et les défis dus à notre époque. »

L’âge vient, mais tout nonagénaire qu’il soit Jacques Hamaide ne renonce pas à sortir de sa maison d’Hyon pour « descendre » en ville. Cette année, il est encore présent à la Ducasse et aux cérémonies du 21 juillet. Tout Mons espérait bien fêter le 6 juillet 2026 son centenaire : c’eût été un événement pour sa Ville qu’il aimait tant…

A quand une avenue, une rue ou une place Jacques Hamaide ?

Hubert Wattier

DJ Afterwork 2025 les jeudi au jardin du Mayeur jusqu’au 28 août 2025 18>23h30

DJ Afterwork 2025 les jeudi au jardin du Mayeur jusqu’au 28 août 2025 18>23h30

🎧 ☀️ 𝐃𝐉 𝐀𝐟𝐭𝐞𝐫𝐰𝐨𝐫𝐤 𝟐𝟎𝟐𝟓 : 𝐯𝐨𝐭𝐫𝐞 𝐛𝐚𝐧𝐝𝐞-𝐬𝐨𝐧 𝐝𝐞 𝐥’𝐞́𝐭𝐞́ ! ☀️🎧

Vous terminez le boulot, il fait doux, et vous n’avez qu’une envie : lever le pied, retrouver vos amis, trinquer et danser dans un cadre magique ?

Bonne nouvelle : cet été, c’est à Mons que ça se passe ! 😁

𝐓𝐨𝐮𝐬 𝐥𝐞𝐬 𝐣𝐞𝐮𝐝𝐢𝐬, 𝐝𝐮 𝟏𝟕 𝐣𝐮𝐢𝐥𝐥𝐞𝐭 𝐚𝐮 𝟐𝟖 𝐚𝐨𝐮̂𝐭, 𝐥𝐞 𝐉𝐚𝐫𝐝𝐢𝐧 𝐝𝐮 𝐌𝐚𝐢̈𝐞𝐮𝐫 𝐝𝐞𝐯𝐢𝐞𝐧𝐭 𝐥𝐞 𝐬𝐩𝐨𝐭 𝐢𝐧𝐜𝐨𝐧𝐭𝐨𝐮𝐫𝐧𝐚𝐛𝐥𝐞 𝐝𝐞 𝐥’𝐞́𝐭𝐞́ !
DJ sets en live, vue sur le Beffroi, foodtrucks, lumières tamisées, ambiance chill et festive.
Le tout, en plein air et en plein centre-ville.

𝐄𝐭 𝐜𝐞𝐭𝐭𝐞 𝐚𝐧𝐧𝐞́𝐞, 𝐜𝐡𝐚𝐪𝐮𝐞 𝐬𝐨𝐢𝐫𝐞́𝐞 𝐚𝐮𝐫𝐚 𝐬𝐚 𝐩𝐫𝐨𝐩𝐫𝐞 𝐚𝐦𝐛𝐢𝐚𝐧𝐜𝐞 𝐦𝐮𝐬𝐢𝐜𝐚𝐥𝐞 : 80/90 • 2000’s • Disco/Funk • Électro • Latino/Urban • Best-of… Un style différent chaque jeudi, mais toujours la même envie de faire la fête ensemble 🎉

𝐂𝐞 𝐪𝐮𝐞 𝐯𝐨𝐮𝐬 𝐝𝐞𝐯𝐞𝐳 𝐬𝐚𝐯𝐨𝐢𝐫 :
👉 Tous les jeudis du 17 juillet au 28 août 2025
👉 De 18h à 23h30
👉 Jardin du Maïeur, Mons
👉 Entrée gratuite

𝐁𝐞𝐬𝐨𝐢𝐧 𝐝𝐞 𝐫𝐢𝐞𝐧, 𝐣𝐮𝐬𝐭𝐞 𝐝’𝐮𝐧 𝐣𝐞𝐮𝐝𝐢 𝐚𝐮 𝐉𝐚𝐫𝐝𝐢𝐧.

Vous venez ? 👀

Expo « Pulsations. Visage d’une cité » au Musée des Beaux-Arts rue neuve Mons du 12 avril au 17 août 2025

Expo « Pulsations. Visage d’une cité » au Musée des Beaux-Arts rue neuve Mons du 12 avril au 17 août 2025

Laurence Vray, « La glace passe », (c) Laurence Vray
Le CAP présente « Pulsations. Visages d’une Cité », une exposition chorale et initiatique. Du 12 avril au 17 août, près de quarante artistes, ainsi que des objets historiques et contemporains, esquissent un visage sensible et intime de la Cité. 

Le parcours de l’exposition se déploie à travers plusieurs salles, chacune imprégnée d’une atmosphère propre et d’un thème singulier : l’importance de la mémoire, la place essentielle de l’eau, les défis de l’habitat face à la nature, ou encore le rôle du sacré et du spirituel dans nos sociétés modernes. Mais de quelle Cité parle-t-on ? Mons, assurément, mais aussi toutes les cités du monde moderne, où les histoires individuelles et collectives s’entremêlent pour composer une narration universelle. Il est ici question de pulsations inscrites dans les traces, les rythmes et les sensations laissées par ce foisonnement d’œuvres, qui forment en quelque sorte le chœur vibrant de la Cité. L’exposition s’ouvre sur les clichés saisissants de Norbert Ghisoland, confrontant d’emblée le visiteur à une multitude de visages. Le parcours se prolonge ensuite à travers les œuvres de Balthasar Burkhard, Marie Cannela, Philippe Bouillon, Bruno Vande Graaf, Barbara Dits, Maxime Van Roy, Rino Noviello, Mara De Sario, Malik Choukrane, Marie-Françoise Plissart, LaToya Ruby Frazier, Jean-Marie Mahieu, Anne Sophie Constenoble, Arsène Detry, Bertille Bak, Raphaël Decoster et bien d’autres. Objets, dessins, sculptures et parchemins anciens viennent enrichir cette narration, apportant une résonance historique aux regards d’aujourd’hui.
 
L’exposition accueillera une œuvre exceptionnelle, Les Registres du Grand-Hornu de Christian Boltanski, mais également des créations spécialement réalisées pour l’exposition : Claire Ducène, Laurence Vray, VOID collectif, Pierre Libaert et Léa Belooussovitch. Des artistes de renom, comme Charley Case, Remy Hans et Tadashi Kawamata, réaliseront pour l’occasion des fresques dans le musée, inscrivant leur empreinte dans l’espace et dans la mémoire des visiteurs.  
 
La scénographie, confiée à Evelyne Gilmont, redéfinit la relation entre l’œuvre et le spectateur en brouillant la frontière entre espace muséal et expérience vécue. Conçue comme un terrain d’exploration, l’exposition dépasse les cadres habituels et engage pleinement le corps du visiteur. Sons, odeurs et mouvements enrichissent la perception de la ville et de son histoire, faisant de chaque œuvre une rencontre à la fois visuelle et sensible. 

Le comité curatorial, composé de profils variés (conservateur, médiateur, artistes et directeur du musée) inscrit cette exposition dans une réflexion collective sur la manière dont une ville façonne ses habitants et inversement.  
En parallèle, l’exposition « Mainteneur » de Diego D’Onofrio prend place du 12 avril au 17 août 2025 dans la Salle aux Piliers du CAP suite à l’obtention du Prix du Hainaut des Arts plastiques 2023. Engagée dans un dialogue avec l’espace d’exposition, elle propose un regard sensible sur le monde qui nous entoure. À travers un dispositif interactif et des matériaux soumis à la tension, Diego explore les notions de socle, de cadre, de médiation et de toucher dans l’espace muséal. Présentant six années de recherche plastique (2019-2025), reconnues entre autres par le Prix Macors Médiatine en 2022, « Mainteneur » marque également une transition dans le parcours de l’artiste, clôturant sa formation à ARTS2 à Mons et ouvrant une nouvelle phase dans son travail.

En outre, du 12 avril au 31 août 2025, en partenariat avec le CAP, l’Institut Culturel d’Architecture de Wallonie-Bruxelles investit la Salle Labo de la Maison des Collections (CAP) avec l’exposition « Utopies/Vivre ensemble » pour explorer ce que « Vivre ensemble » peut impliquer, dès à présent et à l’avenir. Cette exposition fait partie du Temps d’Archi #11 Utopies organisé par l’ICA. Pour donner corps à cette réflexion, le duo artiste-architecte composé de Luna Pittau et Camille Bleker partira à la rencontre des montois·es et de leurs rapports de voisinage avec l’intention d’élaborer des solutions astucieuses afin d’adoucir les conditions de cohabitation. Ludique, absurde et poétique, leur proposition invite à prêter attention aux proximités et aux entourages quotidiens.
TÉLÉCHARGER LES VISUELS
INFORMATIONS PRATIQUES

Expo Pulsations. Visages d’une Cité
12.04 > 17.08.2025

Visite de presse : 11.04 à 11h

CAP / musée des Beaux-Arts
Rue Neuve, 8 – 7000 Mons 
Ouvert du mardi au dimanche de 10h à 18h  
Infos : www.cap.mons.be
Tickets : +32 (0)65 33 55 80 
Agenda expos — Pôle muséal Mons
Christian Boltanski, Les registres du Grand-Hornu, 1997. Installation. Fer blanc, étiquettes, photographies noir et blanc, lampes de bureau 472 x 4015 x 19 cm. Collection Musée des Arts Contemporains au Grand-Hornu, propriété de la Fédération Wallonie-Bruxelles. Crédit photographique : Philippe De Gobert © SABAM Belgium 2025
Marcel Lefrancq, Sans titre, Mons, 1956. Epreuve à la gélatine argentique, tirage moderne, 36,5 x 26,1 cm. Coll. Musée de la Photographie, (c) M.Lefrancq.Mons



 
Salon du Bon Vouloir aux Anciens Abattoirs du 18 mai au 17 août 2025

Salon du Bon Vouloir aux Anciens Abattoirs du 18 mai au 17 août 2025

Le salon d’art du Bon Vouloir : 130 ans d’âge et 120 éditions

A voir jusqu’au 17 août.

C’est une très vénérable institution montoise qui sera à l’honneur dès ce 18 mai. Il faut dire que le premier salon d’art du Bon Vouloir s’est tenu à l’hôtel de ville de Mons du 9 au 19 mai 1895. Douze artistes y présentaient 151 œuvres.

130 ans plus tard, le Bon Vouloir tient le coup, même s’il a connu, comme toutes les initiatives humaines, les aléas du temps. Les deux guerres bien sûr mais aussi quelques années « sans » et les inévitables querelles d’écoles…

Contre vents et marées…

Dans l’ouvrage publié en 1995 lors du centenaire, Michel De Reymaeker écrit : « La main-mise de certains artistes, jaloux de leurs prérogatives et ardents défenseurs d’une esthétique précise d’une part, la difficulté d’accrocher dans un salon d’ensemble de façon cohérente et respectueuse des caractéristiques de chacune d’entre elles, des œuvres souvent disparates d’autre part, ont donc conduit de nombreux artistes à ne participer aux salons du Bon Vouloir que durant quelques années. »

Et Lucy Tondreau renchérit dans « Mons, deux siècles d’art », l’album publié en 2000 : « Les œuvres étaient acceptées ou refusées par un jury constitué de quelques membres du comité : ce choix ne se faisait pas sans quelques déceptions de la part des « refusés » et, lors du placement des œuvres à la cimaise, sans quelque aigreur des artistes qui s’estimaient mal placés »…

Il n’empêche : contre vents et marées, le Bon Vouloir a tenu le cap. Il a bourlingué en divers autres lieux comme le musée des Beaux-Arts, la salle Saint-Georges, la salle de la Toison d’Or avant de trouver ces dernières années son port d’attache aux Anciens Abattoirs, dans le quartier de Messines.

Quand Van Gogh exposait au Bon Vouloir…

Né dans un « climat vivifiant » (dixit Christiane Piérard dans l’ouvrage déjà cité), le Bon Vouloir a accueilli depuis sa création une importante cohorte d’artistes montois : l’ouvrage du centenaire en recense près de 300 et nul doute que ce nombre se soit encore accru de façon substantielle ces trente dernières années.

A ce sujet, citons encore Christiane Piérard : si dès ses début le salon accueillit chaque année un invité d’honneur, « il se peut aussi que l’artiste qui plus tard sera célèbre, passe presqu’inaperçu parmi les exposants. »

Ce fut le cas en 1914 avec un certain Vincent Van Gogh… Il n’était certes pas l’invité d’honneur mais l’épouse de son frère Théo avait amené six tableaux dont la valeur était déjà élevée car sa cote montait. Mais le salon, ouvert le 26 juin, se terminait le 12 juillet. La guerre approchait…

Inquiet, Clément Benoît, secrétaire du cercle, réexpédia dès la fermeture les précieuses toiles aux Pays-Bas en les assurant pour une somme élevée.

Pour la petite histoire, notons que les critiques montois avaient été plutôt tièdes envers ce peintre qui avait vécu 35 ans plus tôt dans le Borinage…

S’il est aujourd’hui impensable d’accrocher des Van Gogh aux cimaises du Bon Vouloir, la 120ème édition vaudra à coup sûr le détour…

Hubert Wattier

Bon à savoir

Le salon d’art du Bon Vouloir se tient jusqu’au 17 août 2025 aux Anciens Abattoirs, rue de la Trouille à Mons.

Vernissage (ouvert à tous) le dimanche 18 mai à 11h.

Ouvert du mardi au dimanche de 12h à 18h.

Infos : www.bonvouloir.be

Le Bon Vouloir vous souhaite la Bienvenue ! – Salon du Bon Vouloir

Le Bon Vouloir vous souhaite la Bienvenue ! – Salon du Bon Vouloir
Festival Theama au Grand-Hornu 14&15 août 2025

Festival Theama au Grand-Hornu 14&15 août 2025

Le Festival THEAMA (pour théâtre amateur) tiendra sa nouvelle édition les 14 et 15 août, dans le cadre majestueux du site du Grand-Hornu.

Ce festival, créé en 2017, se veut le rendez-vous hainuyer annuel de tous les amoureux des planches. Il doit sa création à l’une des missions principales de l’ACTH (Association des Compagnies Théâtrales du Hainaut) : soutenir, coordonner et promouvoir les projets et activités des troupes membres(plus de 50 sur tout le territoire du Hainaut), le théâtre amateur et le théâtre en général, du Hainaut et d’ailleurs. 
Dans les grandes lignes, nous multiplions ou amplifions les canaux de diffusion, tentons de dynamiser les arts scéniques en amateur, tout en valorisant un patrimoine hainuyer vu notre ancrage géographique et le Décret définissant nos missions ; notamment via

• une conférence-spectacle annuelle (Feydeau, Molière et vous, Théâtre antique : actualité, Musique et théâtre, Théâtre et marionnettes, Théâtre action, Théâtre et technologies, etc.) 

• le festival estival annuel THEAMA (14 et 15 août) 

• un concours d’écriture bisannuel (session 24-25 : On en a brûlé pour moins que ça !, dont la mise en voix des textes lauréats s’est tenue le 05 juin dernier au Septem) 

• une dizaine de stages par an (dont combat de scène, impro, voix, théâtre et nature, etc.)

Formules et lieux se sont succédé depuis la première éditionde THEAMA : la ferme Bériot de Montroeul-sur-Haine (Hensies), les Ecuries modernes à Montignies-Saint-Christophe (Erquelinnes) et, cette fois encore, le Grand-Hornu. 

Les troupes et artistes participants proviennent du Hainaut mais le festival accueille également chaque année au minimum une troupe d’une autre régionale (associations bruxelloise et brabançonne, liégeoise, namuroise ou la FECOTA) ainsi qu’une troupe provenant de l’international. 
Le tout est parrainé par un artiste professionnel reconnu (que nous gardons encore secret pour cette édition 2025…).

Pour la seconde année consécutive, le Festival THEAMA dépose ses valises sur le site du Grand-Hornu. « L’une des spécificités du Festival consiste notamment à introduire du théâtre là où ce n’est pas prévu, afin de toucher également des publics peu versés au départ dans le théâtre. Outre la beauté et l’originalité du lieu, le passé glorieux auquel il a servi de cadre a durablement marqué l’identité locale et nos racines hennuyères : ce renom et ce symbole s’inscrivent ainsi à merveille dans notre mission de valorisation du patrimoine provincial », expliquent Vincent Beaumont, l’animateur-coordinateur et Eric Delrée, le président de l’ACTH.

Au niveau de la programmation, le festival se veut éclectique. Cette année, vous pourrez découvrir : 

JEUDI 14 août ​

18H00 « Recracher/Vomir » de Marilyn MATTEI (AR Vauban et Inst. St-André, Charleroi) Grand Auditorium
20h15 « Cendrillon » de Joël POMMERAT (Théâtre du Rabot, Semur-en-Auxois – France) Grand Auditorium

VENDREDI 15 août ​

14h00 « Turbulences » sous la direction de Nicolas INNOCENT et Maxime VALLETTE (TURLg, Liège) Grand Auditorium
15h00 « Bienvenue au Paradis » de Jean-Luc PIÉRART (Atome Théâtre, La Louvière) Atrium
16h00 « Drôle d’oiseau » de Jean-Jacques DESMECHT (VH Productions, Mons) Lampisterie
17h00 « Des gens bien » de David LINDSAY-ABAIRE (Porphyrogénètes, Fleurus) Grand Auditorium
18h00 « Promenade de santé » de Nicolas BEDOS (Art’Edifices, Ath) Atrium
20h00 « Abribus » de Laurent VAN WETTER (Le G Théâtre, Mons) Lampisterie

Il vous est déjà possible de réserver vos billets pour un ou deux jours : 

– www.acth-theatre.be/theama

– www.facebook.com/festivaltheama/

– www.facebook.com/ACTHainaut

Les tarifs sont (en prévente) : 

– Billet ordinaire +12 ans : 6 euros Jour 1 et 10 euros jour 2 ou le combiné à 14 euros

– Billet ordinaire – 12 ans : 3 euros jour 1 et 5 euros jour 2 ou le combiné à 7 euros

Il vous faut ajouter deux euros (+12 ans) et un euro (-12 ans) si achat sur place.

Théâtre d’été au jardin du Mayeur les vendredi et samedi 18h jusqu’au 16 août 2025

Théâtre d’été au jardin du Mayeur les vendredi et samedi 18h jusqu’au 16 août 2025

🎭 𝐋𝐞 𝐉𝐚𝐫𝐝𝐢𝐧 𝐝𝐮 𝐌𝐚ï𝐞𝐮𝐫 𝐬𝐞 𝐭𝐫𝐚𝐧𝐬𝐟𝐨𝐫𝐦𝐞 𝐞𝐧 𝐬𝐜𝐞̀𝐧𝐞 𝐞𝐧 𝐩𝐥𝐞𝐢𝐧 𝐚𝐢𝐫 ! 🎭

Tous les vendredis et samedis de l’été, laissez-vous surprendre par les scènes d’été au Jardin du Maïeur. Comédiens, conteurs, jongleurs, circassiens… chaque semaine, des artistes prennent possession du jardin pour vous faire rêver, rire, vibrer

Un rendez-vous culturel, gratuit et ouvert à tous, dans un cadre unique au cœur de Mons. Parfait pour prolonger vos soirées d’été en famille ou entre amis !

📍 Jardin du Maïeur, Grand-Place de Mons
📆 Tous les vendredis et samedis
🎟️ Accès libre et gratuit

Plus d’infos : https://tinyurl.com/4sntz5kb

Théâtre d’été

JARDIN DU MAÏEUR – du 18/07 au 16/08 (chaque jeudi)

TOUS LES VENDREDIS ET SAMEDIS, comédiens, conteurs, jongleurs et circassiens vous accueillent pour les scènes d’été au jardin du Maieur de l’Hôtel de ville.

Les vendredis et samedis à 18h et à 19h, du 18 juillet au 16 août, au jardin du Maïeur,  plongez dans une ambiance chaleureuse et conviviale. Chaque représentation est une invitation à partager des émotions, des rires et des découvertes artistiques dans un cadre unique en plein air.

Programmation : 

18 juillet

  • 18h, « Musta Largo ». Dans un jeu de lumière tamisée, Moustà Largo, luth en main, conte poétiques et philosophiques sur l’amour, ses mystères et ses paradoxes. Une invitation intime à s’interroger sur le sens de « je t’aime ».
  • 19h, « Le p’tit Joseph 2″. Fort de plus de 30 ans de carrière dans l’humour visuel, Joseph Collard mêle mime, burlesque et paroles nostalgiques pour raconter la vie d’un gamin des années 50 et 60. Un spectacle tendre et drôle qui réveille nos souvenirs d’enfance.

19 juillet

  • 18h, « Berzeillons-les-Goutines ». Une comédie musicale en Berksti, langue secrète mêlant gestes et charabia, portée par Olivier et Loris Douyez et Stéphanie Coppé. Un village imaginaire où amour et émotions s’expriment au-delà des mots, pour un voyage poétique et universel.
  • 19h, « Bal en fanfare ». Suite de Berzeillons-les-Goutines, ce spectacle célèbre un village transformé : plus de famine grâce à la coquine, un petit café animé où tous se retrouvent pour chanter et danser au rythme entraînant de la fanfare.

25 juillet

  • 18h,  « On y va ! ». Jeanlain, 8 ans, part en quête d’une famille joyeuse pour combler l’absence de parents tristes et lointains. Un voyage plein d’amitié, de rencontres inattendues et de réflexions sur la famille et l’entraide, pensé pour l’espace public et jeunes publics.
  • 19h, « Urluberlu ». Luc Hurlu et Jean Berlu sillonnent routes et villages pour donner vie à leur film burlesque de 72 h 53, mêlant karaoké improvisé, odyssée océanographique et hymne à l’amitié entre mouette et homard.

26 juillet

  • 18h, « Urluberlu ». Luc Hurlu et Jean Berlu sillonnent routes et villages pour donner vie à leur film burlesque de 72 h 53, mêlant karaoké improvisé, odyssée océanographique et hymne à l’amitié entre mouette et homard.
  • 19h, « Le tarot de l’I.A. ». Valérie Cordy et AdèlAIde, oracle synthétique, se font les voix d’un jeu de 78 cartes (Glitch, Algorithme, Prompt…) pour un tirage unique mêlant fiction, intuition et poésie digitale.

1er août

  • 18h, « Par ici la visite ». Deux guides nous font découvrir la Wallonie, de Louvet à Plisnier, de Charneux à Gabrielle Bernard, entre décors, cuisine locale et poésie, le tout en musique. Un voyage poétique et humoristique où les mots s’envolent au-dessus des terrils, avec Maya De Waele, Poignard Benjamin, Olivier et Loris Douillez.
  • 19h, « Peek-a-boo ». Un match de boxe burlesque dans un vrai ring, alliant acrobaties spectaculaires, gags irrésistibles et poésie. Opa ! Les frères et sœurs Pašteⱪ s’affrontent dans des duels joyeux, où chaque round se termine en éclats de rire.

02 août

  • 18h, « Berzeillons-les-Goutines ». Une comédie musicale en Berksti, langue secrète mêlant gestes et charabia, portée par Olivier et Loris Douyez et Stéphanie Coppé. Un village imaginaire où amour et émotions s’expriment au-delà des mots, pour un voyage poétique et universel.
  • 19h, « Bal en fanfare ». Suite de Berzeillons-les-Goutines, ce spectacle célèbre un village transformé : plus de famine grâce à la coquine, un petit café animé où tous se retrouvent pour chanter et danser au rythme entraînant de la fanfare.

08 août

  • 18h, « Par ici la visite ». Deux guides nous font découvrir la Wallonie, de Louvet à Plisnier, de Charneux à Gabrielle Bernard, entre décors, cuisine locale et poésie, le tout en musique. Un voyage poétique et humoristique où les mots s’envolent au-dessus des terrils, avec Maya De Waele, Poignard Benjamin, Olivier et Loris Douillez.
  • 19h, « Miroir, suis-je ? ». Intervention poétique de rue conçue par Les Baladins du Miroir : de mystérieuses charrettes poussent le spectateur face à un miroir révélant ses vérités invisibles, entre poésie contemporaine de Caroline Coppé, création sonore immersive et jeu de reflets.

09 août

  • 18h, « On y va ! ».  Jeanlain, 8 ans, part en quête d’une famille joyeuse pour combler l’absence de parents tristes et lointains. Un voyage plein d’amitié, de rencontres inattendues et de réflexions sur la famille et l’entraide, pensé pour l’espace public et jeunes publics.
  • 19h, « Les baladines ». Au son de l’accordéon et de voix gouailleuses, Les Baladines revisitent Piaf, Brel, Fréhel, Gainsbourg, Barbara et bien d’autres pour une soirée guinguette et fête des cœurs !

15 août

  • 18h, « Les jardins de l’amour ». Prenez une scène, une chaise, quelques bougies, un luth et un conteur : laissez-vous emporter sous la voûte étoilée des jardins d’un palais de Cordoue. Moustà Largo offre des récits où l’amour, de Shéhérazade à Roméo et Juliette, révèle ses mystères et invite chacun à se demander : quel est le véritable sens de « je t’aime » ?
  • 19h, « La ballade des gens heureux ». Lecture-spectacle en musique avec Olivier Bonjour (saxophone) et Marco Taillebuis : un hymne à l’optimisme et à la convivialité, où paroles et mélodies invitent à célébrer la joie de vivre ensemble.

16 août

  • 18h, « Moustachos ». Drôle et touchant, ce conte moderne mêlant théâtre de rue burlesque et drame, sans parole mais en musique. Cette comédie explore amour, mensonge et rejet, entre secrets moustachus et révélations cocasses, questionnant jusqu’où l’on va pour plaire à l’autre.
  • 19h, « Antigone vs Créon ».  Ce deuxième volet du Fatal Diptyque, signé Sophocle et Benoît Verhaert, met en scène un duel tragique sur le pouvoir, la désobéissance et la place de la femme dans la société. Un spectacle coup de poing suivi d’un débat citoyen avec le public.
La Caravane du Jazz à l’Abbaye de Saint-Denis vendredi 15 août 2025 14>19h

La Caravane du Jazz à l’Abbaye de Saint-Denis vendredi 15 août 2025 14>19h

La Caravane du Jazz revient cet été à l’Abbaye de Saint-Denis (Mons) avec une affiche exceptionnelle !

AU PROGRAMME


14H : HOMMAGE À MAURANE
16H : TRIBUTE TO SINATRA
18H : BEATLES BLUES NOTES

HOMMAGE À MAURANE


Sur un prélude de Maurane est un duo qui interprète avec passion et émotion les plus belles chansons de la chanteuse belge.
Leur interprétation fidèle et touchante vous fera redécouvrir des classiques incontournables comme « Sur un prélude de Bach » et « Toutes les mamas ».
Plongez dans un univers musical où chaque note est un hommage vibrant à l’inoubliable Maurane.
Au clavier et à la guitare : Chris Cerri – au chant : Laurence Mathieu

TRIBUTE TO SINATRA


Le nom de Frank Sinatra évoque une époque révolue, celle du glamour et du crooning, d’une voix veloutée, son style impeccable accompagné d’un charisme incomparable, son attitude désinvolte et sa vie trépidante ont fait de lui un modèle pour des générations entières.
Un des artistes les plus populaires du XXe siècle. De « My Way » à « New York, New York »,
ses chansons inoubliables continuent de résonner… plus qu’un simple chanteur,
Frank Sinatra était une icone… Nous vous proposons un voyage dans le temps pour revivre la magie de Frank Sinatra ! Un concert hommage exceptionnel avec un chanteur talentueux
à la voix envoutante… Jean Van Lint et son band !

BEATLES BLUE NOTES


Découvrez les airs intemporels des Beatles avec une touche Cool Cat et préparez-vous à une soirée inoubliable grâce à nos 3 musiciens de jazz de premier ordre (Stéphane Mercier en tête) qui vont insuffler une nouvelle vie à vos classiques préférés des Beatles !
Imaginez « Hey Jude » avec un solo de saxophone sensuel ou « Yesterday » transformé en
une ballade de jazz enfumée, accompagné de morceaux profonds des albums de la carrière du groupe contenant les plus belles chansons des meilleurs auteurs-compositeurs du monde.

PARTICIPATION GRATUITE SUR RESERVATION

Une initiative de la la Ville de Mons, dans le cadre de Destinations Mons été 2025

Fête annuelle du Marché du Quartier Abbaye de Saint-Denis vendredi 15 août 2025 10>21h

Fête annuelle du Marché du Quartier Abbaye de Saint-Denis vendredi 15 août 2025 10>21h

🎉 La Fête Annuelle du Marché du Quartier – 7e édition 🎉
📅 Vendredi 15 août 2025
📍 Abbaye de Saint-Denis (Mons) – de 10h à 21h, dans la grange et sur tout le site
🎟 Entrée gratuite

Venez vivre une journée festive et conviviale dans un cadre verdoyant, à l’occasion de la 7e édition de notre fête annuelle du Marché du Quartier !

🛍 Producteurs et artisans locaux
🍽 Petite restauration et bar
🎷 Ambiance musicale assurée par La Caravane du Jazz :
→ 14h : Hommage à Maurane
→ 16h : Tribute to Sinatra
→ 18h : Beatles Blue Notes

👧👦 Animations pour petits et grands : grimpe dans les arbres, châteaux gonflables, jeux pour enfants…

Une journée idéale pour se retrouver entre amis ou en famille, flâner, découvrir, déguster et profiter !

📌 Adresse : 4 rue de la Filature – 7034 Saint-Denis
📲 Suivez-nous sur Facebook :
@marcheduquartierdestdenis / @amisdelabbayedesaintdenis

Street car show au Lotto Mons Expo samedi 16 août 2025 13>20h

Street car show au Lotto Mons Expo samedi 16 août 2025 13>20h

Description

Une journée 100% passion et saveurs ! 

Rejoignez-nous pour une journée exceptionnelle où moteurs rugissants et délices gourmands se rencontrent ! 

Au programme : 

✨ Exposition de voitures & motos anciennes, sportives, custom et de collection 

Une sélection des meilleurs food trucks : burgers, tacos, douceurs sucrées, boissons et bien plus ! 

? Musique, ambiance conviviale pour toute la famille 

[Lotto Mons Expo,  Avenue Thomas Edison 2, 7000 Mons – Belgique ] 
– [16 Août, 13:00 – 20:00] 
– Entrée gratuite  Passionnés d’automobile, amateurs de bonne bouffe ou simplement curieux, venez vivre une expérience unique où l’odeur de l’essence rencontre celle des frites bien dorées !

Sur Facebook

https://www.lottomonsexpo.be/Web/fr/agenda?view=event&itid=206