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Le piano, confident des romantiques.

Chopin, Schumann et Brahms avaient un lien très fort au piano. Pour le premier, il était quasiment exclusif et l’instrument a opéré une mue poétique et sublime sous ses doigts. Pour Schumann, le piano aussi était un confident privilégié et le compagnon de tous ses tourments, ses mystères et ses non-dits. Plus orchestral et conquérant, le piano de Brahms sait aussi se révéler nostalgique et intime.

Programme

Frédéric Chopin : Nocturne Op. 27 n°1
Johannes Brahms : Valses op. 39
Robert Schumann : Etudes symphoniques op. 13

Claire Désert | Mars – Mons arts de la scène (surmars.be)