Le concours est terminé les gagnants ont été prévenus par mail.
Lorsque Rudolf Noureev vient à Paris en 1961 à l’occasion d’une tournée avec le Kirov, peu avant sa demande d’asile politique, il subjugue le public du Palais Garnier dans le rôle du Prince de La Belle au bois dormant. Trente ans plus tard, il propose pour le Ballet de l’Opéra national de Paris une nouvelle chorégraphie de cette œuvre qu’il considérait comme « le ballet des ballets ». Tout en conservant la féerie spectaculaire du ballet et la musique de Tchaïkovski au charme étincelant, il rééquilibre la chorégraphie originelle de Marius Petipa en accordant plus de place aux rôles masculins, en particulier celui du Prince. Absents de la scène de l’Opéra national de Paris depuis dix ans, nul doute qu’Aurore et Désiré, la Fée Lilas et l’Oiseau bleu, sans oublier la terrible Carabosse, fascineront de nouvelles générations.
Offrant un spectacle féérique, tant par la poésie du sujet que par la splendeur de la production, cette œuvre majestueuse portée par la partition lumineuse de Tchaïkovski demeure un joyau du répertoire classique.
Musique : P.I. Tchaïkovski Chorégraphie : Rudolf Noureev Avec les Étoiles, les Premières Danseuses, les Premiers Danseurs, le Corps de Ballet et le Junior Ballet de l’Opéra national de Paris , Orchestre de l’Opéra national de Paris
Concours terminé les gagnants ont été prévenu par mail
Une cinquième saison
Pari sur l’existence d’un mystérieux pays imaginaire où les traditions musicales s’entrecroiseraient et dialogueraient sans passeport, le présent concert s’enrichit de la mixité des cultures. Aussi chaudes que les congères de neige de la Taïga, plus rafraîchissantes que la torpeur subsaharienne, les compositions proposées au trio par la clarinettiste Aurélie Charneux se réapproprient les traditions éloignées du jazz Klezmer, de l’Europe et de l’Orient.
« La cinquième saison » (titre de leur nouvel album) n’existe pas, et le trio nous emmène précisément dans un pays qui n’existe pas, à la musique nouvelle, faite de la liberté du jazz et de la nostalgie du folk. – JEAN-CLAUDE VANTROYEN – LE SOIR
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Après 4 années consacrées essentiellement au Cinéma, Fanny Ardant est de retour sur scène dans La blessure et la soif, au Théâtre Marigny puis en tournée. Dirigée par la metteure en scène Catherine Schaub, Fanny Ardant interprète, seule en scène, l’adaptation du roman bouleversant de Laurence Plazenet. Magnifique ! Ce très beau texte plonge au cœur de la passion, celle qui dévore les êtres, qui rend incandescents les corps et les âmes, celle aussi qui déchire les humains entre l’aspiration à une transcendance et l’inaccessibilité du divin. Trente années, durant, une femme et un homme s’aiment, se perdent, vivent loin de l’autre sans jamais s’oublier. Une unique et dernière rencontre, dans la grange d’un monastère persécuté par Louis XIV, scelle à jamais leur destinée. D’après le roman « La blessure et la soif » de Laurence Plazenet paru aux Editions Gallimard. Texte de Laurence PLAZENET Mise en scène de Catherine SCHAUB Avec Fanny ARDANT Lumières : César GODEFROY Scénographe : Jean HAAS Costumes : Michel DUSSARRAT Musiques : Armand AMAR Maquillage : Mina MATSUMURA Coiffure : Jean-Jacques PUCHU-LAPEYRADE
Pour des raisons indépendantes de notre volonté, les représentations de « L’Arbre à clous » du jeudi 27 novembre à 13h30 et à 20h sont malheureusement annulées.
Si vous aviez déjà payé vos places, vous avez 3 possibilités :
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Planter un clou pour se réinventer
Selon une ancienne tradition wallonne qui a traversé les âges, il suffirait, pour se libérer d’un mal qui affecte notre corps, de frotter la tête d’un clou à l’endroit de la douleur avant de le planter dans un arbre pour obtenir la guérison. Dominique Roodthooft et son équipe de création, s’emparent de cette coutume singulière à l’aune de notre monde actuel et nous invitent à participer à une veillée collective autour d’un arbre druidique et ludique. Planter un clou pour se libérer d’un poids, d’une contrariété – mais aussi pour déposer un souhait, un vœu ; pour sortir de principe de la non-issue, s’armer contre le ressentiment, restaurer la confiance, la joie et la puissance de notre imagination.
De retour des Lisztomanias, les rencontres internationales Franz Liszt à Châteauroux, le charismatique pianiste, Vardan Mamikonian et l’Orchestre Royal de Chambre de Wallonie sous la direction de Vahan Mardirossian seront à Mons le temps d’une soirée axée sur la sensibilité et l’audace au cours de la laquelle vous pourrez vous immerger dans les œuvres de Saint-Saëns, Liszt, Gershwin et Ravel ! Au programme : George Gershwin: Lullaby (Berceuse) Franz Liszt: Malédiction, S. 121 Camille Saint-Saëns: Wedding Cake op. 76 Maurice Ravel: Quatuor à cordes en fa majeur (version pour orchestre à cordes)
Infos et réservations : Théâtre Royal de Mons, Grand Place à 7000 Mons. After dès 21h30. Places non numérotées à 30/25/10 € ; gratuit pour les moins de 25 ans; public@surmars.be, www.surmars.be. Un partenariat Mars/ ORCW /Ville de Mons
J'ai créé ce blog en 2014 après m'être rendu compte que les évènements montois n'étaient pas assez mis en évidence dans les divers médias. Le succès a été immédiat et j'y annonce les diverses manifestations culturelles à Mons les spectacles, concerts, fêtes et expositions diverses et ce gratuitement.
Je suis aussi très actif sur les réseaux sociaux avec les pages Doudou Mons et Mons Info. Enfin je suis co-organisateur de plusieurs évènements à Mons comme le Beatles Day, le festival de la chanson française et fête de ma musique.
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