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Expo « Toqué(e)s d’art »au Magasin de Papier du 19 avril au 1er juin 2025

Expo « Toqué(e)s d’art »au Magasin de Papier du 19 avril au 1er juin 2025

Toqué(e)s d’art au Magasin de Papier

Découvrez dès ce samedi 19 avril, la nouvelle expo du Magasin de Papier. Des œuvres issues de la Fondation Paul Duhem, bien souvent créées par des personnes qui ne viennent pas du secteur artistique, mais qui ont juste eu envie de réaliser quelque chose à un moment de leur vie.

Tapisseries, mosaïques, peintures, dessins, assemblages, gravures… orneront les cimaises au Magasin de Papier. Avec les œuvres de : Lionel Vinche, Jacques Trovic, Julien Tama, Louis Poulain, Isabelle Laure, Chantal Gontarczyk, Ludivine Flips, Paul Duhem, Nils Dieu, Danièle Caron, Anne Boucher, Abel.

🥂🥂 Vernissage le vendredi 18 avril à 19h, gratuit et ouvert à toutes et tous !

📌 Magasin de Papier
Rue de la Clef 26 à Mons
Ouvert le mercredi, samedi et dimanche, 12h>18h
Entrée libre
www.magasindepapier.mons.be

Expo « Pulsations. Visage d’une cité » au Musée des Beaux-Arts rue neuve Mons du 12 avril au 17 août 2025

Expo « Pulsations. Visage d’une cité » au Musée des Beaux-Arts rue neuve Mons du 12 avril au 17 août 2025

Laurence Vray, « La glace passe », (c) Laurence Vray
Le CAP présente « Pulsations. Visages d’une Cité », une exposition chorale et initiatique. Du 12 avril au 17 août, près de quarante artistes, ainsi que des objets historiques et contemporains, esquissent un visage sensible et intime de la Cité. 

Le parcours de l’exposition se déploie à travers plusieurs salles, chacune imprégnée d’une atmosphère propre et d’un thème singulier : l’importance de la mémoire, la place essentielle de l’eau, les défis de l’habitat face à la nature, ou encore le rôle du sacré et du spirituel dans nos sociétés modernes. Mais de quelle Cité parle-t-on ? Mons, assurément, mais aussi toutes les cités du monde moderne, où les histoires individuelles et collectives s’entremêlent pour composer une narration universelle. Il est ici question de pulsations inscrites dans les traces, les rythmes et les sensations laissées par ce foisonnement d’œuvres, qui forment en quelque sorte le chœur vibrant de la Cité. L’exposition s’ouvre sur les clichés saisissants de Norbert Ghisoland, confrontant d’emblée le visiteur à une multitude de visages. Le parcours se prolonge ensuite à travers les œuvres de Balthasar Burkhard, Marie Cannela, Philippe Bouillon, Bruno Vande Graaf, Barbara Dits, Maxime Van Roy, Rino Noviello, Mara De Sario, Malik Choukrane, Marie-Françoise Plissart, LaToya Ruby Frazier, Jean-Marie Mahieu, Anne Sophie Constenoble, Arsène Detry, Bertille Bak, Raphaël Decoster et bien d’autres. Objets, dessins, sculptures et parchemins anciens viennent enrichir cette narration, apportant une résonance historique aux regards d’aujourd’hui.
 
L’exposition accueillera une œuvre exceptionnelle, Les Registres du Grand-Hornu de Christian Boltanski, mais également des créations spécialement réalisées pour l’exposition : Claire Ducène, Laurence Vray, VOID collectif, Pierre Libaert et Léa Belooussovitch. Des artistes de renom, comme Charley Case, Remy Hans et Tadashi Kawamata, réaliseront pour l’occasion des fresques dans le musée, inscrivant leur empreinte dans l’espace et dans la mémoire des visiteurs.  
 
La scénographie, confiée à Evelyne Gilmont, redéfinit la relation entre l’œuvre et le spectateur en brouillant la frontière entre espace muséal et expérience vécue. Conçue comme un terrain d’exploration, l’exposition dépasse les cadres habituels et engage pleinement le corps du visiteur. Sons, odeurs et mouvements enrichissent la perception de la ville et de son histoire, faisant de chaque œuvre une rencontre à la fois visuelle et sensible. 

Le comité curatorial, composé de profils variés (conservateur, médiateur, artistes et directeur du musée) inscrit cette exposition dans une réflexion collective sur la manière dont une ville façonne ses habitants et inversement.  
En parallèle, l’exposition « Mainteneur » de Diego D’Onofrio prend place du 12 avril au 17 août 2025 dans la Salle aux Piliers du CAP suite à l’obtention du Prix du Hainaut des Arts plastiques 2023. Engagée dans un dialogue avec l’espace d’exposition, elle propose un regard sensible sur le monde qui nous entoure. À travers un dispositif interactif et des matériaux soumis à la tension, Diego explore les notions de socle, de cadre, de médiation et de toucher dans l’espace muséal. Présentant six années de recherche plastique (2019-2025), reconnues entre autres par le Prix Macors Médiatine en 2022, « Mainteneur » marque également une transition dans le parcours de l’artiste, clôturant sa formation à ARTS2 à Mons et ouvrant une nouvelle phase dans son travail.

En outre, du 12 avril au 31 août 2025, en partenariat avec le CAP, l’Institut Culturel d’Architecture de Wallonie-Bruxelles investit la Salle Labo de la Maison des Collections (CAP) avec l’exposition « Utopies/Vivre ensemble » pour explorer ce que « Vivre ensemble » peut impliquer, dès à présent et à l’avenir. Cette exposition fait partie du Temps d’Archi #11 Utopies organisé par l’ICA. Pour donner corps à cette réflexion, le duo artiste-architecte composé de Luna Pittau et Camille Bleker partira à la rencontre des montois·es et de leurs rapports de voisinage avec l’intention d’élaborer des solutions astucieuses afin d’adoucir les conditions de cohabitation. Ludique, absurde et poétique, leur proposition invite à prêter attention aux proximités et aux entourages quotidiens.
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INFORMATIONS PRATIQUES

Expo Pulsations. Visages d’une Cité
12.04 > 17.08.2025

Visite de presse : 11.04 à 11h

CAP / musée des Beaux-Arts
Rue Neuve, 8 – 7000 Mons 
Ouvert du mardi au dimanche de 10h à 18h  
Infos : www.cap.mons.be
Tickets : +32 (0)65 33 55 80 
Agenda expos — Pôle muséal Mons
Christian Boltanski, Les registres du Grand-Hornu, 1997. Installation. Fer blanc, étiquettes, photographies noir et blanc, lampes de bureau 472 x 4015 x 19 cm. Collection Musée des Arts Contemporains au Grand-Hornu, propriété de la Fédération Wallonie-Bruxelles. Crédit photographique : Philippe De Gobert © SABAM Belgium 2025
Marcel Lefrancq, Sans titre, Mons, 1956. Epreuve à la gélatine argentique, tirage moderne, 36,5 x 26,1 cm. Coll. Musée de la Photographie, (c) M.Lefrancq.Mons



 
Expo Eirini CHATSATOURIAN & Axelle VANOLI à la Thank’s Galerie Mons du 23 mai au 28 juin 2025

Expo Eirini CHATSATOURIAN & Axelle VANOLI à la Thank’s Galerie Mons du 23 mai au 28 juin 2025

La THANKSgalerie a eu l’envie de se faire rencontrer deux artistes aux pratiques et aux générations distinctes mais traversées par des résonances poétiques et plastiques communes. 

Nous vous invitons ce vendredi 23 mai lors du vernissage, à découvrir la rencontre des œuvres d’Eirini Chatsatourian et d’Axelle Vanoli.

Toutes deux puisent dans le paysage et le vivant une matière qu’elles fragmentent, transforment et recomposent. Leurs gestes donnent naissance à un monde sensible, entre observation attentive de la nature — ses éléments d’eau, de terre, ses rythmes — et langage intuitif de la forme. Leurs approches — l’une mêlant céramique et peinture, l’autre dessin, céramique et installation — explorent la répétition, le motif, le rituel, avec une grande légèreté chromatique. Leurs œuvres, riches en textures et en nuances, nous transportent dans un espace suspendu entre fragilité, jeu et contemplation. Des formes végétales, minérales ou cellulaires surgissent, morcelées, rassemblées, métamorphosées. Leurs matières et leurs rythmes se répondent : entre le trait et la terre, entre le fragment et le tout.

Cette exposition esquisse un dialogue silencieux et vibrant entre deux pratiques contemporaines unies par un médium commun et une même attention au monde.

Vernissage : Ve 23 mai 2025 à 18h – THANKSgalerie – Rue des Fripiers 22, 7000 Mons

Exposition visible jusqu’au 28 juin 2025 – Entrée libre

(10) VERNISSAGE – Eirini Chatsatourian & Axelle Vanoli | Facebook

Les aventures des faucons du beffroi en 2025

Les aventures des faucons du beffroi en 2025

naissance des fauconneaux 28-29 avril 2025

12 mai 2025
il n’y a que deux fauconneaux vivants malgré les 3 oeufs

3ème oeuf pondu 25 mars 2025

2eme œuf pondu le 21 mars 2025

premier œuf pondu le 19 mars 2025

Comme chaque année, un couple de faucons pèlerins a élu domicile dans l’un des clochetons du Beffroi de Mons. Grâce aux caméras installées sur le nid, il est possible d’observer ces majestueux rapaces tout au long de la période de nidification, de février à juin

Le mâle a été identifié grâce à sa bague : c’est le même que l’an dernier, né en 2020 à Sint-Niklaas, à 116 km de Mons ! La femelle, quant à elle, reste mystérieuse puisqu’elle n’est pas baguée.

Combien de fauconneaux verront le jour cette année ? Suspense…

Extrait vidéo en direct depuis le beffroi de Mons ( photo Ville de Mons)

Un couple de faucons Pèlerins dans le ciel montois ! 

Disparu de notre ciel depuis plus de trente ans, mais protégé depuis 1979 par l’Union Européenne, le faucon emblématique des hauts cieux, le Faucon pèlerin, est à Mons ! 

En 2009, un couple s’est installé dans la tour de l’un des plus beaux édifices de notre ville : le Beffroi. Ce couple veille donc sur la vie montoise, du haut des 87 mètres de ce chef-d’œuvre reconnu patrimoine mondial de l’Unesco, lui-même construit au sommet de la butte montoise, quel clin d’œil ! 

Le Faucon pèlerin est le plus rapide des oiseaux : il peut atteindre une vitesse de 100 Km/h lors d’un vol à l’horizontal à la poursuite d’une proie mais lorsqu’il prend de la hauteur pour effectuer ensuite un «piqué» sur celle-ci, il peut dépasser les 300 Km/h ! 

L’oiseau se nourrit de tout ce qui vole et qui a du sang chaud, donc essentiellement des oiseaux de multiples espèces, capturés en vol. Les pigeons montois sont ainsi régulièrement au menu. 

La Ville de Mons, en collaboration avec l’Institut Royal des Sciences Naturelles de Belgique et Natagora, a installé un nichoir au sommet du Beffroi en 2007. Un mâle a été observé sur le Beffroi dès 2008. En 2009, il semble y avoir séduit une compagne. Mais le couple n’a pas niché cette année-là. 

Et c’est en 2010 qu’une première famille de 3 fauconneaux a pris son envol depuis le sommet du célèbre édifice. 

En février, le couple parade au-dessus de la ville et début mars, la femelle pond 3 à 4 œufs, couvés par les parents pendant 32 jours et ce à partir de la ponte du troisième œuf. Les poussins, petites boules de duvet blanc, sont protégés par leur mère essentiellement durant les 10 premiers jours de leur vie. Pendant ce temps, le père faucon chasse afin de ravitailler la famille. Par après, la demande en nourriture se faisant grandissante, père et mère partent chasser afin de nourrir les jeunes laissés de plus en plus seuls, la journée. 

Afin de mieux comprendre la biologie du Pèlerin, une opération de baguage est menée chaque année.  Le but étant de peser, mesurer et baguer les jeunes fauconneaux.  Cela permet également de sexer les jeunes (les femelles étant d’un tiers plus grandes et plus grosses que les mâles) et de leur placer une bague à la patte avec un code unique à chaque individu.  Des plumes sont également prélevées et analysées en laboratoire afin de s’assurer de la bonne santé de la nichée (Source : Bulletin de la Régionale Centre Ouest Hainaut de Natagora – #123 de 2023). 

Vers la cinquième semaine, vous pourrez voir les jeunes complètement emplumés venir explorer le bord du nid en battant fréquemment des ailes, se musclant rapidement afin de pouvoir prendre leur envol une semaine plus tard. Pendant quelques temps, les fauconneaux resteront à proximité du Beffroi, toujours nourris par les adultes ; ceux-ci les initieront aux diverses techniques de la chasse de haut vol !  Vous pourrez alors les voir jouer dans les airs et assister à leurs acrobaties pour attraper les proies, que les parents lâchent du ciel afin de les aguerrir à la capture en vol. 

Vers la fin de l’été, les jeunes, devenus indépendants, quitteront la ville pour devenir nomades avant de trouver un site de nidification. Cela peut prendre plusieurs années. 

Cependant, peu arriveront à l’âge adulte car seuls les chasseurs les plus efficaces, qui auront pu éviter les pièges de la sélection naturelle, survivront ! 

N’hésitez donc pas à lever régulièrement les yeux vers le ciel montois, qui a pris une nouvelle dimension. Des vidéos du couple de faucons et de leurs petits sont disponibles sur notre chaîne Youtube. 

Source : D’après un texte d’YvesFagniart

Sources / Plus d’informations

Suivez leurs aventures en direct via ce lien Youtube :

https://www.youtube.com/@fauconstory

La cité des possibles au Mundaneum du 14 mars 2025 au 11 janvier 2026

La cité des possibles au Mundaneum du 14 mars 2025 au 11 janvier 2026

Mundaneum : 76. rue de Nimy Mons Mundaneum • Centre d’archives et espace muséal

Mundaneum • Centre d’archives et espace muséal

Plongez dans un voyage captivant à travers les rêves, les idéaux et les projets de cités idéales qui ont marqué l’histoire, du 19e siècle à aujourd’hui. “Cité des possibles – Des utopies aux réalités de demain” invite les visiteurs à explorer les visions architecturales et humanistes qui ont façonné ces utopies, tout en interrogeant leurs impacts sur notre société actuelle. De l’idée au développement, des débats aux dérives, l’exposition met en lumière les multiples facettes de ces projets, à travers des documents et des dispositifs interactifs.

Plan de la cité Mondiale – Stanislas Jasinski

Au cœur de l’exposition, le projet visionnaire de la Cité Mondiale imaginé par Paul Otlet, cofondateur du Mundaneum. Ce pionnier rêvait d’un espace universel dédié à la connaissance et à la coopération internationale, une ville pensée pour promouvoir la paix et le progrès. Avec l’aide de ses collaborateurs, dont Henri et Léonie La Fontaine, ainsi que des architectes de renom comme Le Corbusier, il imaginait une cité rassemblant tous les savoirs intellectuels du monde, un modèle de ville parfaite, au-delà des frontières géographiques et idéologiques. Bien que la Cité Mondiale ne soit jamais devenue réalité, elle demeure une source d’inspiration puissante et intemporelle.

La Cité radieuse

L’exposition explore également de nombreux autres projets, passés et contemporains, qui redéfinissent et repensent notre rapport au monde. Ces initiatives, nées parfois dans des contextes très différents, continuent de nous inspirer pour repenser la ville, son organisation et ses fonctions afin de répondre aux défis de notre époque, tels que la crise climatique, les inégalités sociales, ou encore les questions de mobilité. Certains de ces projets sont profondément influencés par des idéaux humanistes, d’autres cherchent à concilier progrès architectural, qualité de vie et durabilité. À travers ces exemples, l’exposition s’interroge aussi sur les dérives et les obstacles politiques, économiques ou sociaux qui ont entravé certaines de ces utopies, transformant des rêves ambitieux en échecs ou en dystopies.

“Cités des possibles – Des utopies aux réalités de demain” propose un parcours stimulant, qui invite à rêver, questionner et réinventer le futur de nos cités.

Comment repenser nos façons d’habiter et de coexister dans un monde en mutation ? Quels enseignements pouvons-nous tirer de ces utopies pour relever les défis du vivre-ensemble aujourd’hui ?

À travers ces réflexions, l’exposition ouvre un dialogue entre passé et présent, idéal et réalité, et incite chacun à imaginer des solutions innovantes pour les espaces urbains de demain.

Au Mundaneum

Voir les horaires d’ouverture

Cités des possibles – Des utopies aux réalités de demain • Mundaneum