Les Noces de Figaro est un opera buffa en 4 actes de Wolfgang Amadeus Mozart, sur un livret en italien de Lorenzo da Ponte inspiré de la comédie de Beaumarchais, Le Mariage de Figaro.
La première représentation a lieu le 1ᵉʳ mai 1786 au Burgtheater de Vienne.
Les Noces de Figaro Opera buffa en quatre actes D’après Pierre Augustin Caron de Beaumarchais Le Mariage de Figaro
En quelques mots : Les Noces de Figaro compte parmi les opéras les plus emblématiques du répertoire. Brahms en parlait comme d’un « miracle » et la plainte de la Comtesse résonne encore aujourd’hui comme une des pages musicales les plus déchirantes. En reprenant la comédie de Beaumarchais qui fut à l’origine d’un scandale qui mit en émoi toute la société parisienne, Mozart et Da Ponte s’assuraient leur réussite. La pièce avait même été interdite par Joseph II en 1785 au Théâtre de Vienne. Devait-elle trop exposer sur le devant de la scène les contradictions d’un régime déjà vacillant, prêt à sombrer avec la Révolution française ?
La nouvelle production de Netia Jones conserve l’essence même de la pièce de Beaumarchais en questionnant avec humour mais non sans espièglerie les rapports humains, dans une production qui vient confondre réalité et fiction au point de se demander, comme le Comte : « Jouons‑nous une comédie ? »
du haut dé l’ ville, du bas èyé des alintours qui comprenn’nt-té co no langage.
C’est bétôt l’ fiète dé Wallonie qué no biau p’tit trau d’ville n’ manquéroit pou rié au monde dé passer oute, èyé nos autes avec, passqué c’est l’ moumint d’honorer tous les ceusses qu’ont créé et interténu l’esprit ropïeur montois èdpouis deux cints ans.
L’dimanche 18 septimb qui viét au Gardin du Mayeur, à midi, l’ association des Montois Cayaux, inchène avé l’Régence, rind’nt-té ein hommage in musique à ces gaillards-là in lisant leu tesses in public. Suré, qu’ ara du ch ‘nu ! Mais avant ça, à 11 heures, il a avec el messe tout in patois montois à l’ collégiale Sainte-Waudru, ein espectaque, mei.me si on n’ c’oit nié, qu’arrive seul’mint ein caup l’an, d’abord à n’ nié rater. (il ara des chants avé n’ chorale)
C’est l’ fiètte du patois, d’abord ?
Ouais ! Faut bé s’ dire qu’ i n’ a nié dé honte à pa’ler l’ langue dé nos nos tayes, meîme s’il a des geins qui té r’gard’nt-té comme si t’ avois ein trau à t’ maronne ou bé qué l’ pan dé t’ quémiche passoit pau t’ brayette !
In pusss, il a des caups ousqué l’ patois peut iette bé n’ utile ; j’ té dis ça mais jé n’dis rié…Ça t’ est sûr’mint d’jà arrivé d’ quéïr su un taffiard qu’a toudis enn’ afféere pus intéressante qué l’ tienne à raconter èyé qui n’ in finit pus d’ té l’ espliquer in long èyé in large, enne heure dé long.
Au bout d’ chinq minutes dé c’ n’ indormage-là, t’ as qu’ à li dire : « C’est ça, raquies ein caup d’ssus èyé d’minde au Bon Dieu qu’ i gèle ! » Eyé el temps qu’ i compreinne, à r’voir dallé…
Comme dé fut, les ciens qui pal’nt-té co l’ patois i n’ont nié d’ porte dé derrière.
P’t-ête bé qu’ i leu arrive dé vos escouater vos artoiles, mais c’est co tant pire, passqué, ein p’tit moumint après, c’est d’jà raccomodé, roublié. Eyè c’est toute.
C’est pou tout ça qu’i faut qu’el patois dure el pus longmint possibe. Quand ça n’ s’roit foqu’ pou prouver qui ress’ co des vrais Montois à Mons, nié seul’mint les ceusses d’ein jou’ qui viennent-té fée du dallage à l’corde.
D’abord, av’nez nos fée ein p’tit coucou au Gardin du Mayeur. Dimanche 18 septembre à midi, c’est l’ fiette des vrées Montois-Cayaux.
Le concours sur Mons Blog est terminé, les gagnants ont été prévenu par mail
Ce duo original propose un programme romantique qui mettra à l’honneur l’instrument le plus grave de la famille des bois, le basson, celui-là même qui représente le grand-père dans le conte musical Pierre et le Loup. Vous redécouvrirez le très célèbre «Mon cœur s’ouvre à ta voix» extrait de Samson et Dalila de Camille Saint-Saëns ou encore les Danses hongroises de Béla Bartók, Oblivion et Libertango de Piazzolla et bien d’autres pépites du répertoire.
“Il dépasse tous les défis techniques avec la plus grande facilité. Son son est rond et puissant et il fait chanter son instrument comme un baryton-basse dans des airs d’opéra, tour à tour triste ou ludique. Il se révèle être un musicien d’une grande sensibilité”. (Crescendo-magazine à propos du jeune bassoniste Mavroudes Troullos)
Mavroudes Troullos (basson). Lily Maisky (piano).
Programme :
Camille Saint-Saëns, Gabriel Verdalle, Sergei Rachmaninoff, Béla Bartók, Piotr Ilitch Tchaikovsky, Ernest Bloch, Alexandre Scriabine, Astor Piazzolla .
Jeu 31.05 – 20h Arsonic rue de Nimy Mons 15 / 12 / 9€
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