La Baraque : utopiste hier, pionnière aujourd’hui.Regard intime sur un quartier de Louvain-La-Neuve hors du commun.Photographies de Reynald HalloyEn s’implantant sur le plateau de Lauzelle en 1972, l’Université Catholique de Louvain bouleverse le hameau de la Baraque. Mais un groupe de villageois, bientôt rejoint par des étudiant·es en architecture et en sciences sociales, résiste et refuse de se laisser exproprier… Le photographe Reynald Halloy pose un regard intime sur ce quartier où il vécut 20 ans. L’exposition rend hommage à l’esprit créatif et indomptable de ces habitant.e.s. qui se nomment elles/eux-mêmes, non sans ironie, les « Baraki·es ». Une production de SoleiLune en partenariat avec l’UCLouvain Culture. Exposition ouverte du 20 septembre au 16 novembre 2025Fermé les 1, 2 et 11 novembreOuvert du lundi au vendredi de 9h à 18h, les samedis et dimanches de 14h à 18 h Entrée gratuite – Information : cellule-culture-mons@uclouvain.be
Adresse :Ateliers de l’UCLouvain en Hainaut, 2 rue des Soeurs Noires, 7000 Mons(entrée par le parking, rue Grand Trou Oudart) Infos :cellule-culture-mons@uclouvain.be ou 065/40.69.10
👩🏼🦳 En hommage à ma grand-mère, j’organise une marche de soutien à la Fondation de recherche sur la maladie d’Alzheimer (Stop Alzheimer).
🚶🏼 Participation libre, don facultatif
🌳 Itinéraires PMR (3) – 5 – 10 – 15 km en partie dans le Bois de Ghlin
📍 Départ et arrivée : Café Le Mouligneau, rue du Fiesty 1, 7011 Ghlin
⏰ départs 9h-13h
⛔️ Le carrefour rues du Fiesty, d’Herchies et d’Erbisoeul sera bloqué à la circulation. 🅿️ Parkings : PMR à côté du café (côté rue d’Erbisoeul) et chez Detandt&Simon (rue d’Herchies 37, 7011 Ghlin)
🐶 Chiens admis avec respect du règlement communal – port de la laisse obligatoire au départ/arrivée et tout le long du trajet
Le dimanche 21 septembre à 11h une messe en patois Montois sera dite à la collégiale Sainte Waudru
ensuite à midi aura lieu, dans le cadre des Fêtes de la Wallonie, le traditionnel hommage au mémorial des littérateurs montois dans le Jardin du Maïeur. Des membres de l’ association des Montois Cayaux y réciteront des textes dialectaux.
La cérémonie sera suivie d’une réception dans la Salle des Mariages de l’Hôtel de Ville au cours de laquelle sera remis le prix au lauréat du concours des textes en patois organisé par l’ association des Montois Cayaux
Le Samedi 13 septembre à 16h, la THANKSgalerie ouvre ses portes pour une rencontre avec le travail de Silja Hubert, Mathias Flasse et Guillaume Thunis.
Tous trois partagent un attrait particulier pour le dessin, envisagé comme une pratique essentielle, à la fois intime et universelle. Le papier, la ligne, le trait, mais aussi la répétition du geste, deviennent les points de départ d’une recherche qui dépasse la simple représentation pour s’aventurer vers la matière, la forme et l’espace.
Dans cette exposition, le dessin n’est plus seulement un outil mais un langage repensé : il se fait trace, rythme, surface ou volume. La répétition du geste, qu’elle se traduise par la superposition, la variation ou la reprise insistante d’un motif, ouvre de nouvelles perspectives : chez certains, le dessin naît de la matière ; chez d’autres, il se construit comme une matière en soi, sculptée, accumulée ou déconstruite. Les œuvres réunies interrogent la présence et l’absence, le plein et le vide, la construction et l’effacement, tout en portant une attention particulière au temps et à l’espace que le geste habite et transforme.
Silja Hubert, belgo-islandaise diplômée de La Cambre, explore la matérialité du textile et de la gravure. Dans ses œuvres, le métal gravé devient souple, le tissu acquiert une densité sculpturale et les surfaces vibrent des échos de son héritage nordique. Elle développe un langage où rigidité et fluidité, empreinte et trace, se rejoignent.
Mathias Flasse, également formé à La Cambre après son parcours à la Biche à Mons, travaille le dessin et l’objet à travers la répétition du geste dans les petites choses du quotidien. Sa recherche met en évidence le temps comme matière : le trait se répète et devient une écriture visuelle faite d’éléments simples, proches de nous. Ce qui se répète n’est jamais identique : chaque variation porte la trace d’un décalage ou d’une imperfection. Dans cette tension entre régularité et différence, il explore la beauté fragile du geste presque parfait.
Guillaume Thunis, artiste belge, inscrit sa démarche dans l’abstraction et la géométrie. Par des rythmes, des variations et des décalages subtils, il fait dialoguer l’intérieur et l’extérieur, l’infiniment grand et l’infiniment petit. Son travail interroge l’équilibre fragile du monde, oscillant entre solidité et fragilité, présence et disparition.
Exposition visible jusqu’au 11 octobre ( du jeudi au samedi de 10 à 18h )
Mardi 23 septembre 2025 à 18 heures Mons – Palais provincial – Salle du Conseil L’église Notre-Dame de Bon-Secours à Péruwelz : genèse d’une œuvre néogothique exceptionnelle Antoine Baudry
L’église Notre-Dame de Bon-Secours à Péruwelz est un joyau d’architecture religieuse néogothique de la fin du XIXe siècle. Cet édifice pittoresque, véritable phare de la Chrétienté, trône au sommet d’une colline aux pentes abruptes, à quelques pas de la frontière française. Épicentre d’un important pèlerinage marial, il a remplacé une chapelle du XVIIe siècle devenue trop exigüe, démolie en 1885. La genèse du projet confié à l’architecte Frans Baeckelmans est cependant bien plus ancienne. En effet, pendant près d’un quart de siècle, plusieurs institutions et administrations se déchirent régulièrement au sujet du devenir d’un site qui cristallise des enjeux à la fois religieux, cultuels, mémoriaux, économiques, hygiénistes et patrimoniaux : faut-il maintenir, agrandir ou reconstruire le monument ? À compter de 1858, année qui marque le début du pèlerinage à Lourdes, de nombreux projets sont régulièrement élaborés, critiqués, amendés, voire torpillés en fonction des enjeux et des positions idéologiques. L’étude de ces projets successifs et de leurs protagonistes permet de renouveler notre regard sur la genèse de cette église incontournable, et livre des clés de compréhension multiples sur ses formes architecturales. À plus large échelle, elle éclaire également le processus créatif en architecture au cours de la seconde moitié du XIXe siècle, en questionnant le poids de la géographie administrative de l’époque et des rapports de force que celle-ci engendre.
Antoine Baudry est Membre du Collegium de l’Académie royale de Belgique (Classe des Arts). Il est Docteur (ULiège) en histoire, histoire de l’art et archéologie. Ses domaines de recherches et d’expertises concernent l’archéologie du bâti, l’histoire de l’architecture et du patrimoine monumental, mais aussi l’histoire de la construction et des travaux publics dans nos régions du Moyen Âge à nos jours.
J'ai créé ce blog en 2014 après m'être rendu compte que les évènements montois n'étaient pas assez mis en évidence dans les divers médias. Le succès a été immédiat et j'y annonce les diverses manifestations culturelles à Mons les spectacles, concerts, fêtes et expositions diverses et ce gratuitement.
Je suis aussi très actif sur les réseaux sociaux avec les pages Doudou Mons et Mons Info. Enfin je suis co-organisateur de plusieurs évènements à Mons comme le Beatles Day, le festival de la chanson française et fête de ma musique.
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